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Connu pour son travail d’illustrateur sur la série Lantfeust de Troy (le plus grand succès du heroic fantasy français), Didier Tarquin se fait également scénariste avec La Trace des nouveaux pionniers, le premier tome d’une nouvelle trilogie intitulée U.C.C. Dolores.

Disney continue son saccage de notre enfance pour se donner le mandat de faire rêver les nouvelles générations, mais le résultat continue d’horripiler, poussant à nouveau Tim Burton dans les bas-fonds plutôt que dans ces belles années où il savait savamment nous faire rêver. Ce remodelage de Dumbo n’est rien d’autre que pénible.

Difficile, de nos jours, de ne pas connaître l’oeuvre de Fernando Botero. L’artiste colombien, autant peintre que sculpteur, a fait le tour du monde avec ses personnages plus ronds que nature. Dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), le réalisateur Don Millar trace un portrait tout en nuances de celui qui est possiblement le plus grand artiste vivant de notre époque.

Depuis que les nouvelles sont devenues spectacle, toutes les raisons sont bonnes pour revivre les tragédies à toutes les sauces. Hollywood ayant toujours eu un faible pour les histoires vraies, on se retrouve une décennie plus tard à revivre en mode gros suspense à budget les attentats de 2008, en Inde. Hotel Mumbai est ainsi prêt à nous faire vivre toutes les gammes d’émotions possibles, coûte que coûte.

Parfois, il n’y a rien de mieux que des films « pour enfants » pour se détendre et passer un bon moment, que l’on soit en famille ou seul devant son écran. Énormes succès commerciaux – et excellents coups de pub –, les films Lego Movie et Lego Batman sont au coeur de ce 10e épisode de Rembobinage.

S’il a parfois été ridiculisé par le passé, personne n’aura envie de se moquer du Aquaman joué par Jason Momoa dans l’adaptation cinématographique de James Wan, disponible dès aujourd’hui en Blu-ray, DVD et vidéo sur demande.

Voilà deux siècles que Frankenstein, le célèbre roman de Mary Shelley, force l’humanité à confronté sa propre mortalité et ses rêves de vie éternelle. Dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), le réalisateur français Jean Froment propose une fine analyse du phénomène littéraire, d’abord, mais aussi de l’impact de cette oeuvre immortelle sur la culture et la psyché humaines.

Rita, une coiffeuse de 29 ans; Frank, un universitaire, professeur de littérature dans la soixantaine : deux êtres que tout oppose, mais qui vont tout de même se rencontrer. Que peut-t-il en résulter ? Encore bien davantage que tout ce que chacun des deux pouvait imaginer. C’est ce que raconte la pièce L’éducation de Rita de Willy Russel, présentée au Théâtre du Rideau Vert à Montréal.

Difficile liberté, ce titre d’un ouvrage de Lévinas s’adapterai bien au contenu de la pièce de Tom Schulman, La Société des poètes disparus, montée avec bonheur au Théâtre Denise-Pelletier dans une très belle mise en scène de Sébastien David. Dans la prestigieuse et austère Académie de Welton, les étudiants en uniforme répondent à la discipline et travaillent assidument en espérant plus tard intégrer une grande université. Mais lorsque surgit M. Keating, un professeur non conformiste aux méthodes d’enseignement peu orthodoxes, les étudiants découvrent une autre manière de voir et de se comporter.