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Passagers, c’est le titre du spectacle des 7 doigts de la main qui est présenté à La Tohu, depuis le 14 novembre et jusqu’au 5 janvier prochain. S’il s’agit bien là d’un spectacle de cirque, où sont représentées pas moins de dix disciplines de l’art circassien, il s’agit aussi de danse, de théâtre, et de chant.

Le pouvoir féminin a toujours comporté quelque chose de plus complexe que le penchant masculin. Encore aujourd’hui, les femmes, qu’elles gouvernent ou non, sont jugées selon des normes plus strictes que leurs homologues disposant d’un pénis. Dans la pièce Souveraines, une oeuvre surprenante présentée au Théâtre de Quat’sous, l’auteure et comédienne Rose-Maïté Erkoreka explore cette dichotomie.

Sur une passerelle de mode d’un blanc immaculé, voire froid, sept actrices entrent en scène par une cabine d’essayage. Fuyant la tempête qui gronde à l’extérieur, elles trouvent refuge dans leur temple des cossins en quête des mêmes petits bonheurs. Dans ce lieu de culte, elles cherchent une sacoche, une robe, des pantoufles, une cafetière, un tournevis, bref n’importe quel objet pas trop cheap qui donnera un sens à leur vie, et elles tentent de composer du mieux qu’elles peuvent avec leurs angoisses existentielles.

Écrite dans les années 70, Bonjour là, bonjour de Michel Tremblay semble nous parler de la revendication de la jeunesse à la liberté de l’amour caractéristique de cette période de l’histoire. Mais peut-être s’agit-il plutôt de la difficulté d’exprimer son amour, celui en particulier qu’un jeune homme éprouve à l’égard de son père.

Personne ne devrait avoir envie de rédiger la critique de la pièce Huff, récemment jouée à La Licorne. Non pas parce que l’oeuvre est mauvaise, bien au contraire, mais parce que l’on préférerait enterrer et oublier la réalité qui y est dépeinte.

Écrire sans fautes. C’est ce que les enseignantes apprennent aux enfants depuis longtemps. Des fautes. Pas des erreurs. Des fautes. Car l’un est fautif de ne pas savoir l’orthographe d’usage. Et pourquoi? Qui a pris la décision, il y a bien longtemps, de mettre un X à hibou ou à cheveux, lorsque ceux-ci sont au pluriel? D’où viennent toutes ces règles, mais, surtout, toutes ces exceptions?