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La musique constitue un excellent miroir de la société, et l’évolution drastique du rock entre les années 1950 et 1970 reflète à merveille les remous et les bouleversements de cette époque trouble, que la bande dessinée Autel California nous permet de revivre.

Écrire sans fautes. C’est ce que les enseignantes apprennent aux enfants depuis longtemps. Des fautes. Pas des erreurs. Des fautes. Car l’un est fautif de ne pas savoir l’orthographe d’usage. Et pourquoi? Qui a pris la décision, il y a bien longtemps, de mettre un X à hibou ou à cheveux, lorsque ceux-ci sont au pluriel? D’où viennent toutes ces règles, mais, surtout, toutes ces exceptions?

Plus ou moins attendue, après l’éclatement de l’affaire #MeToo et la mise à l’écart de Kevin Spacey, l’acteur principal de la série pendant cinq saisons, la sixième déclinaison de House of Cards vient confirmer que toute bonne chose a une fin. Une fin souvent trop étirée, ennuyeuse et oubliable.

Chose promise, chose due: après à peine quatre épisodes pour la première saison, voilà que la télésérie d’animation Castlevania débarque sur Netflix pour une nouvelle fournée en huit parties. Amateurs de vampires, de sang qui gicle et d’aventuriers armés d’un fouet, cette deuxième saison est pour vous.

Le goéland mangeur de déchets, l’écureuil saboteur, la poule pondeuse, le chat thérapeute et le chien saucisse miniature sont-ils les animaux du futur ? Beau livre à feuilleter paisiblement avec toute la famille, Anthologie illustrée des animaux de Ben Hoare parue aux Éditions Hurtubise rend compte de cette vie sauvage que l’on risque de perdre par nombrilisme.

Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922. 

Véritable lettre d’amour à la ville de Barcelone, la bande dessinée L’art de mourir de Philippe Berthet et Raule propose un polar sur le thème de la paternité qui possède la même qualité intemporelle qu’un film noir.

Disons que chaque année, on aime toujours devancer un peu plus les sorties, et c’est de manière un peu inquiétante qu’on voit un premier film du temps des fêtes prendre l’affiche à peine quelques jours après qu’on ait éteint (et même pas enlevée) la dernière citrouille de l’Halloween. Cette proposition ultra-usinée de cette relecture louable de Casse-noisettes aurait pourtant davantage charmé les familles au moment opportun, et ce malgré son manque flagrant de consistance.

La grande vedette de la BD douce-amère La petite Russie, c’est la petite communauté de Guyenne, en Abitibi. Francis Desharnais y raconte comment son grand-père Marcel et sa grand-mère Antoinette se sont installés, dans les années 1940, dans cette colonie naissante, bien loin dans le nord, pour y fonder une famille – qui allait devenir nombreuse – et devenir agriculteurs. Une histoire vraie, donc, bien que romancée.

À l’occasion de ce troisième épisode de Rembobinage, Hugo Prévost et Jean-Simon Fabien plonge dans un film d’Halloween qui a lancé une série bien connue. L’occasion de revenir quelque 30 ans en arrière et de revenir aux racines de cette franchise dont les plus récentes déclinaisons sont franchement effrayantes.