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Le groupe le plus connu de geek rock nous offre un nouvel album, Raditude. Ce septième album studio décevra malheureusement les puristes. Les membres de Weezer auraient-ils perdu leur inspiration?

Il est partout, mais semble venir de nulle-part. Dans l’ouvrage Le mystère insondable du pâté chinois, Jean-Pierre Lemasson a tenté de clore la question de ce qui fut nommé plat national québécois en 2007 par les lecteurs du Devoir.

L’obsession soudaine de lire Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Dany Laferrière m’a poussé à lire une dizaine de ses romans. La plupart faisaient partie de son autobiographie américaine, composée d’histoires se déroulant en Haïti, aux Etats-Unis et au Québec. Son avant dernier roman, Je suis un écrivain japonais, montre à nouveau un auteur capable, confiant, concis et lucide.

Le groupe australien Wolfmother sort de son isolement musical austral et nous arrive avec un tout nouvel album, Cosmic Egg. Plus réfléchi, plus en contrôle, toujours aussi puissant, une excellente galette.

Le duo danois de pop-rock The Raveonettes s’est produit hier au Club Soda de Montréal, sans aucune prétention, mais sous une diablement bonne énergie.

La Cinémathèque québécoise présentait ce soir An Evening With Don Hertzfeldt, une rencontre avec le cinéaste d’animation américain bien connu pour ses courts métrages déjantés.

Hé oui, c’est déjà la fin du Festival du nouveau cinéma… Voici notre rétrospective de cet évènement.

Le Festival du Nouveau Cinéma présentait un trio de films cet après-midi à l’Ex-Centris; deux documentaires, The Solitary Life of Cranes, Naïade et Petropolis. Deux documentaires tenant d’avantage de l’essai, ainsi qu’un court-métrage de dessins animés. Critique.

Présenté au dernier festival Sundance, Unmade Beds du réalisateur argentin Alexis Dos Santos trace le portrait de deux jeunes immigrants à Londres, vacillant entre les soirées où l’on oublie tout et les instants où l’on tente de s’accrocher à un éclair de lucidité, d’absolu.

Est-il possible de transformer efficacement le tissu urbain en gigantesque oeuvre d’art dans laquelle les passants sont partie intégrante de l’oeuvre? Comment utiliser la technologie pour faire progresser l’art? C’est à ces questions et bien d’autres que deux conférenciers ont tenté de répondre ce soir, au cours d’une conférence intitulée « Beyond Locative Media: Mapping the New Public Sphere », ou « Au-delà des médias géographiques: cartographier la nouvelle sphère publique ».