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Premier tome d’une prometteuse collection intitulée Les méchants de l’Histoire, l’album Dracula utilise la bande dessinée et l’humour noir pour raconter la vie de Vlad Dracul, l’homme dont le sadisme a inspiré le plus célèbre des vampires.

Qu’est-ce que la démocratie? Est-ce le droit de voter à tous les quatre ans pour élire un gouvernement? Est-ce la liberté économique? La justice pour tous? Ou est-ce autre chose? Dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), la réalisatrice Astra Taylor tente de répondre à une question apparemment simple, mais qui est en fait excessivement complexe.

Écrite dans les années 70, Bonjour là, bonjour de Michel Tremblay semble nous parler de la revendication de la jeunesse à la liberté de l’amour caractéristique de cette période de l’histoire. Mais peut-être s’agit-il plutôt de la difficulté d’exprimer son amour, celui en particulier qu’un jeune homme éprouve à l’égard de son père.

Comme les personnages de Widows l’apprendront bien à leurs dépens, rien n’est impossible; tout dépend de l’exécution. Et si pour certains cette rencontre épatante de talents entraînera une certaine déception (il s’agit d’un film d’auteur grand public fait pour récolter des éloges et des prix, lui-même adapté d’une télésérie britannique des années 80), elle n’en demeure pas moins un long-métrage minutieux qui s’empresse de faire vivre une expérience à son public.

Pour le quatrième épisode de Rembobinage, vos deux cinéphiles favoris, Hugo Prévost et Jean-Simon Fabien, remontent à la lointaine année 2015 pour revisiter Demolition, un drame réalisé par nul autre que le cinéaste québécois Jean-Marc Vallée.

Quatre ans après un premier disque encensé par la critique, le groupe Ayrad lance vendredi Zoubida, deuxième galette débordant de chaleur, de couleur et de rythmes. De quoi oublier l’hiver hâtif qui semble désespérément vouloir s’infiltrer par les interstices d’une maison définitivement mal isolée.

Jason Statham n’est pas une mauviette, et après avoir sacré des volées à toutes sortes de durs à cuire durant sa prolifique carrière, le héros de films d’action se mesure à rien de moins qu’un requin préhistorique dans The Meg.

En 2013, des résidents de la Bande de Gaza annoncent une découverte archéologique majeure: une statue plus que millénaire du dieu Apollon, littéralement repêchée dans les eaux océaniques bordant le territoire enclavé. Pourtant, quelques semaines plus tard, l’oeuvre disparaît. Dans son documentaire L’Apollon de Gaza présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), le cinéaste Nicolas Wadimoff tente de résoudre ce mystère.