On se désole de cet autre proposition générique et sans trop de surprises de Blumhouse, soignée, mais vite oubliée. D’autant plus qu’il y avait moyen de s’amuser bien plus avec le ridicule souvent évident de bien des revirements (après tout, et vous ferez vos recherches, le concept n’est-il pas né d’une forme d’autodérision?).
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Avec ses touches de parlé sans détour, un joual naturel par les dialogues, l’écrivain n’affiche aucune prétention et se berce à l’humilité. Ce qui lui importe : que les mots viennent du cœur, librement et qu’on le suive.
Voilà donc un film oubliable qui ressemble à une commande livrée au hasard, comme en fait foi cet épilogue à la limite risible. The Killer est un film de Fincher qui en a l’apparence, mais en rien l’âme. Ce qui est certainement très dommage.
Recueil parfois troublant, parfois triste, parfois choquant, mais aussi bien souvent optimiste, différent et rempli d’espoir, Caresses magiques offre un regard percutant sur un aspect de la vie trop négligé, rejeté, volontairement oublié. L’occasion de se rappeler que ces réalités existent, qu’on le veuille ou non.
Résister et fleurir aurait pu être un simple essai, mais en utilisant la forme du roman graphique, Jean-Félix Chénier et Yoakim Bélanger rendent le concept de l’utopie beaucoup plus accessible. Ce faisant, leur invitation à rêver d’un monde différent a de meilleures chances de rejoindre un vaste public, ce qui ne peut qu’être bénéfique.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’intéressent à ce film complexe et puissant qui s’est mérité rien de moins que la Palme d’or 2023.
Anouk Vallée-Charest donnera certainement très envie au jeune public de la salle à se risquer à la pratique des arts circassiens. Son enthousiasme est communicatif et sa performance est des plus réussies.
On ne peut que constater le niveau de talent et de professionnalisme des Grands Ballets et, si on aime le ballet classique, se dépêcher de prendre des billets… s’il en reste.
La pièce pousse à de multiples réflexions. Et cela fait du bien dans un monde où – et la pièce le dénonce aussi – on agit avant de réfléchir, quand toutefois on réfléchit…
Au son de multiples extraits radiophoniques, Internet ou de conférences accompagnés de musiques, six des artistes s’adressent au public dans une chorégraphie bien orchestrée. Un fantôme silencieux rode qui rappelle que la fin concerne tout un chacun et que tout le monde le sait.