Toni, en famille n’en demeure pas moins un feel-good movie brillant (souvent très drôle et très juste) et fort d’une lucidité riche à découvrir. Un long-métrage conçu avec un soin palpable qui nous fait passer, avec bonheur, par une large gamme d’émotions.
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Par une performance solo exceptionnelle de l’actrice Debbie Lynch-White, très bien mise en scène par Édith Patenaude, son texte fort et bouleversant fait trembler le public et l’aide à prendre conscience des dessous inextricables de cette mission nécessaire et quasiment impossible qu’est le travail humanitaire.
Hugo et Kevin discutent d’APRÈS-COUPS, réalisé par Romane Garant Chartrand, de CELLES QUI LUTTENT, de Sarah Baril Gaudet, et de MADEMOISELLE KENOPSIA, de Denis Côté.
Avec Les enfants ne se laissaient pas faire, Joann Sfar livre un album intime au propos universel, qui incite à la réflexion sur les travers de nos sociétés modernes ainsi que sur les horreurs de la guerre, peu importe l’époque ou le pays où elle a cours.
Dans Myokine, Anne Plamondon a voulu dégager l’espoir que lui inspiraient ces substances sécrétées par le corps humain en mouvement. Au-delà de leur esthétique irréprochable, ses chorégraphies sont sensibles sans renoncer à la force, puissantes sans renoncer à la douceur, collectives sans renoncer à l’individualité.
Par le biais de plusieurs programmes s’articulant autour d’enjeux importants (on pense au volet Voix autochtones et Focus France notamment), ce sera également l’occasion de découvrir quelques exclusivités de haut calibre, mais aussi de rattraper des films qu’on aurait pu manquer par le passé.
Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.
Bien entendu, quatre titres, c’est peu, mais c’est tout de même suffisant pour indiquer que Cynthia Veilleux en a dans le ventre. Une preuve irréfutable qu’elle fait partie de ces artistes à surveiller, celles qui font cavalier seul pour s’imposer comme référence de la chanson à texte.
Film certainement efficace, film franchement bien tourné – avec une multitude d’inserts fort à propos –, The Killer est du David Fincher qui tourne comme David Fincher. Le résultat? Une oeuvre tout à fait intéressante qui s’inscrit dans une cinématographie aussi éclectique qu’intrigante.
Lupin est certainement de la télévision potable: on peut écouter les épisodes de cette nouvelle saison sans se poser aucune question, sans être surpris, ou encore sans être émotionnellement investi dans l’histoire. Mais dans cette même perspective, ce contenu est à l’image de ce que fournit trop souvent Netflix: du maïs soufflé sans vraie saveur, oubliable une fois la dernière bouchée avalée.