The End demeure une oeuvre assez unique en son genre qui saura ravir ceux qui voudront s’abandonner à un exercice aussi soigné et singulier.
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On passe du rire aux larmes, de l’amour à la violence et à la mort, de Furiosa à Anora, en passant par The Substance, Festin boréal, Ababouiné, Conclave, et bien d’autres!
Lorsque défilera son générique, Queer sera désormais parfaitement en fusion avec nous, prêt à ne plus nous quitter et à partager ses mystères, mais certainement pas ses clés ou ses réponses, avec nous. Et, bien que bouleversés, comme on commence à en avoir l’habitude, on lui en sera à nouveau immensément reconnaissant.
Via ces deux exercices mêlant adroitement expériences personnelles et maîtrise de son médium, il fait bon de voir des grands cinéastes ne pas avoir peur de se mouiller et de continuer d’avoir envie d’explorer, d’aller ailleurs (mais pas tant que ça, finalement) et de ne jurer, au bout du compte, que par une chose: le pouvoir infini du cinéma.
31 ans après sa sortie, il est toujours d’actualité de parler de cette histoire de joie, d’horreur, de mélancolie et de… cadeaux terrifiants.
Très fidèle et bénéficiant d’une production d’une grande qualité, autant en termes d’animation que de doublage, Watchmen ne décevra pas les amateurs de l’œuvre d’Alan Moore et de Dave Gibbons. Souhaitons que la nouvelle génération, qui découvrira ce classique pour la première fois, sera incitée à se procurer le roman graphique original, qui demeure la meilleure histoire de superhéros de tous les temps.
Enfin, via une finale glaçante qu’on voit tout de même venir, T-REX demeure une oeuvre pertinente, soignée, mais qui, malgré les limites de son format, semble s’étirer peut-être un peu trop pour son propre bien.
Plus les participants de l’étude croyaient les stéréotypes sur l’intelligence, plus ils jugeaient que les femmes ou les personnes noires brillantes étaient peu répandues dans la vraie vie.
On restera néanmoins avec une proposition sympathique à ses heures, et fort heureusement assez courte avec ses 93 minutes, même si on ne semble jamais vraiment se détacher de l’impression d’écouter la version allongée d’un court-métrage qui n’exploite jamais tout son potentiel.
Edwart Berger lève le voile sur les manigances, les manipulations et les luttes de pouvoir se déroulant entre les murs du Vatican, lorsque vient le temps de remplacer le pape.