Avec si peu à dire, dépasser les deux heures s’avère trop long pour l’entreprise et que si l’on en a eu plein les yeux tout du long, on ne ressortira pas du visionnement avec grand-chose à en soutirer, malheureusement.
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Dans El Conde, le réalisateur Pablo Larrain dépeint un monde où cet ex-tyran, maintenant “retraité”, souhaite finalement mourir.
En puisant largement dans l’oeuvre d’Asimov, Foundation s’aventure dans de la science-fiction qui va bien au-delà des pistolets laser, des guerres spatiales et des extraterrestres; il s’agit plutôt d’une exploration philosophique de la nature humaine. Et en soin, c’est là autant un défi gigantesque qu’un risque colossal.
Quant à la production télévisuelle indépendante, elle avait déjà repris son erre d’aller, en 2020-2021, avec 815 millions en investissements, contre 664 millions, l’année précédente. Et en 2021-2022, ce montant a encore augmenté, pour passer à 848 millions.
Ultimement, plutôt qu’une remise en question de la maternité sur fond de crise environnementale, The Pod Generation tourne malheureusement à vide, avec une idée centrale intéressante, mais qui n’est jamais pleinement exploitée, au déplaisir des cinéphiles.
Au final, on est sortis énergisés et complètement repus d’une création aussi remarquable et satisfaisante. À ne pas manquer.
Pour cet épisode du podcast, Hugo et Kevin explorent ce film présenté en première mondiale au TIFF, à Toronto.
Asteroid City n’est peut-être pas le meilleur film de Wes Anderson, mais c’est assurément le plus bizarre. Il s’agit d’une œuvre unique et très personnelle, qui représente une bouffée de fraîcheur dans un monde où la majorité des productions cinématographiques reprennent les mêmes formules, et finissent trop souvent par se ressembler.
Aussi bien le scénariste que le réalisateur du film semblent s’être inspirés – beaucoup trop – des classiques Scream et I Know What You Did Last Summer, dont on reconnaît les intrigues et même les personnages, tous aussi caricaturaux qu’ils sont.
L’histoire toute simple de La Grande Séduction, son humour bon enfant et l’universalité de ceux-ci font en sorte que la magie opère partout où elle se déroule, ou presque.