Dans le contexte du lancement d’Aki Creators, les internautes pourront accéder à la toute première histoire spécialement conçue pour la plateforme: un court-métrage intitulé Land Dances Us, qui met de l’avant une fusion des techniques cinématographiques traditionnelles et de la création via l’intelligence artificielle, afin de donner vie à cet univers autochtone.
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Plutôt qu’être médiocre, ou même être tellement horrible qu’il en devient bon, Atlas est seulement (très) mauvais. Un film qui sera vu des centaines de milliers, voire des millions de fois, seulement parce que Netflix le recommande en lançant le service. Quand seule la force du nombre, le poids technologique d’un géant, peut justifier un tel gâchis, il y a de quoi véritablement souhaiter l’apocalypse robotique…
Largement supérieur à la première partie, Dune: Part Two est destiné à devenir un grand classique, et l’adaptation définitive du roman de Frank Herbert au grand écran. C’est tellement bon que l’on souhaite maintenant que Denis Villeneuve continue la saga, en s’attaquant au second livre de la série, Le Messie de Dune.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’embarquent pour une aventure mêlant grosses cylindrées, explosions et beaucoup de sable radioactif.
Riche en images d’archives de toutes sortes, superbement monté, Jim Henson: Idea Man permet de mieux comprendre ce qui se cachait dans la tête de ce fantastique créateur. Cet artiste qui a transcendé son art pour tendre vers quelque chose de plus beau, tout en étant quasiment plus simple. À voir.
Hugo Prévost et Kevin Laforest naviguent à travers cette oeuvre audacieuse, ambitieuse, mais aussi novatrice et… terriblement sexy.
Je suis habituellement peu friand de comédies romantiques, mais en ajoutant des éléments d’horreur et un humour grinçant à sa formule, Lisa Frankenstein se démarque des autres films du genre, démontrant au passage que Zelda Williams est une réalisatrice à surveiller.
Hugo Prévost et Kevin Laforest découvrent ce qui est autant une lettre d’amour aux classiques du genre qu’un projet particulièrement bien ficelé.
Daaaaaalí! confirme donc que Quentin Dupieux est un cinéaste fascinant à la filmographie aussi riche que variée. Doté d’un style distinct, en s’interrogeant continuellement sur la notion de rêve et de réalité, il se permet quand même d’explorer en repoussant constamment les possibles et ses propres limites, et osant cette fois s’attaquer plus que jamais à l’insaisissable.
En fait, pour que The Ministry of Ungentlemanly Warfare fonctionne, il aurait fallu en faire un Inglorious Basterds, dont le scénario et les personnages (y compris le grand méchant, joué par Christoph Waltz) sont à des années-lumière de ce que Ritchie semble être capable d’imaginer. Et donc, ce nouveau film est malheureusement passable, sans plus.