Anaïs « RISE » Gilles et Delande « DJUNGLE » Dorsaint ont le rythme au corps; quand les spectateurs s’installent dans la salle, ils sont ainsi déjà sur scène, à bouger sur le fond de musique électronique proposée par les musiciens présents.
Auteur/autrice : Sophie Jama
Finie, semble-t-il, l’idée qu’en amour, on offre à l’autre ce qu’il n’attendait pas et qu’il ne voulait pas.
Personne ne se prend au sérieux, même si au cœur de tous ces gags voulus, le public peut apprécier des moments dansés de très grande qualité.
Le spectacle est stupéfiant, stimulant, énergisant, hypnotisant. Les trois œuvres, qui au départ n’étaient pas conçues pour former un ensemble, s’harmonisent parfaitement sur la scène en offrant au public le spectacle des changements de décor, qui sont aussi un spectacle en soi.
Les artistes excellent non seulement en matière d’arts circassiens, mais semblent aussi tous être capables de jouer d’un instrument, voire de chanter sans perdre leur souffle, tout en accomplissant leurs acrobaties. De la haute voltige!
Ces artistes talentueux, mais qui ne se prennent sûrement pas au sérieux, entraine la salle dans des rires et des applaudissements bien mérités. L’ensemble reflète bien ce que peut être l’art des clowns, qu’on aimerait plus présent dans tous les spectacles de cirque.
Le spectacle est drôle, plein de surprises; il donne beaucoup à penser sur cette époque où les ainés vivaient avec leurs enfants et où le cercle familial constituait une frontière de vie indépassable.
Dix-sept solos répartis durant les trois soirées de représentation, cela signifie dix-sept personnages féminins aux personnalités bien affirmées, aux sentiments et aux manières de bouger toutes différentes les unes des autres.
Pour la journée internationale des marionnettes, célébrée chaque année le 21 mars – mais le spectacle mérite d’être vu n’importe quel autre jour… – Conte du littoral, proposé au beau théâtre de L’Illusion, plonge le spectateur dans l’imagination de l’écrivain et les créatures fantastiques qui en émergent.
L’oeuvre est proposée de nouveau dans le cadre de Danse Danse, au théâtre Maisonneuve. Monté pour la première fois en 1986, le ballet de danse contemporaine conserve toute son originalité et sa fascination pour le public.