Sur les planches du TNM, jusqu’au 14 avril, on présente L’Idiot, un texte d’Étienne Lepage, d’après le roman de Fiodor Dostoïevski et dans une mise en scène de Catherine Vidal. Bâtie sur un texte archi connu, la pièce est soutenue par une solide distribution dont font partie, Macha Limonchik, Paul Savoie, Paul Ahmarani, Renaud Lacelle-Bourdon, Évelyne Brochu et sept autres comédiennes et comédiens.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Ce n’est plus seulement l’âge adulte assumé, c’est une pleine maturité qui caractérise l’orchestre de chambre montréalais I Musici. En effet, cette année souligne la 35e saison de l’orchestre et c’est toute une programmation et toute une brochette de grands interprètes qui attendent les mélomanes.
C’est aux éditions Métailié qu’on retrouve le plus récent roman de l’Islandais Gudbergur Bergsson, Il n’en revint que trois. Rappelons que Bergsson publie depuis 1961 et qu’il a déjà une vingtaine d’ouvrages à son actif, en plus de ses traductions.
Paru aux éditions XYZ, le dernier opus du regretté Jean-Yves Soucy, s’intitule, de façon juste et parfaitement bien imagée, Les pieds dans la mousse de caribou, la tête dans le cosmos.
Sous la direction de Chrystine Brouillet et Geneviève Lefebvre, les Éditions Druide viennent de faire paraître Treize à table, un recueil de nouvelles qui s’articulent toutes autour de la nourriture. Pas surprenant, compte tenu des intérêts gastronomiques bien connus de Madame Brouillet.
Vendredi soir dernier, au Théâtre Prospero, avait lieu une des représentations de la pièce de Fabrice Melquiot, Le poisson combattant. Cette production de la Compagnie du passage (Suisse) est présentée par le Groupe de la Veillée et met en vedette un seul comédien, Robert Bouvier. Elle est à l’affiche jusqu’au 17 mars.
Une plongée au cœur de la poésie et de la musique pour une meilleure compréhension de la mythologie et pour aider à comprendre le sens que Richard Wagner entendait donner à l’Œuvre d’art totale.
L’orchestre baroque Arion a une nouvelle amie en la personne d’Amandine Beyer. En effet, pour le troisième concert de la série montréalaise de l’orchestre, Claire Guimond, la directrice artistique a invité la violoniste et professeure française Amandine Beyer qui restera certainement dans la mémoire des habitués d’Arion. La chef invitée Beyer est non seulement sympathique, férue d’histoire de la musique et virtuose, mais elle est avant tout une véritable interprète.
Quatre ans de travail, quatre années de recherche et de rédaction pour achever son plus récent roman: voici ce qu’a investi Deon Meyer dans L’année du lion, paru chez Seuil.
Le 24 novembre dernier, à la Basilique Notre-Dame de Montréal, l’Orchestre baroque Arion présentait le deuxième concert de sa série montréalaise, dans le cadre du Festival Bach. Ce concert avait pour titre, Réjouissances et présentait les œuvres suivantes: