Bien entendu, quatre titres, c’est peu, mais c’est tout de même suffisant pour indiquer que Cynthia Veilleux en a dans le ventre. Une preuve irréfutable qu’elle fait partie de ces artistes à surveiller, celles qui font cavalier seul pour s’imposer comme référence de la chanson à texte.
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Il ne fait aucun doute que The Silver Cord fait partie des disques les plus aboutis, les plus complets du groupe. Création musicale aussi difficile à saisir que rocambolesque, cet album est à classer parmi ceux qui finissent par essouffler les mélomanes, tant ils sont exigeants.
Ce que l’on tente de dire, peut-être maladroitement, c’est que ce nouvel album est très, très bon. Clairement, Brian Jonestown Massacre n’a rien perdu de sa superbe, de son mordant.
Dans sa quête tradi-moderne, le griot Sissokho véhicule un message fort pour la cohésion : nous sommes tous pareils, des êtres humains.
Avec ses éclairages spéciaux et ses envolées de bulles de savon, tout le spectacle de Mamselle Ruiz est parfaitement réglé pour proposer au public un beau mélange de musique et d’arts circassiens.
Tour de force musical qui gagne en puissance à chaque écoute, PetroDragonic Apocalypse prouve que King Gizzard and the Lizard Wizard continue de gagner en maturité et en capacités mélodiques. Un album coup-de-poing qui appuie bien fort là où ça fait mal.
Squaring the Circle est un documentaire que l’on peut déjà qualifier d’iconique. L’une des colonnes du temple de la musique que l’on doit impérativement protéger, pour ne pas perdre un pan de notre histoire.
Il aurait été possible de classer cet album avec toutes les autres propositions pop provenant de la sphère musicale québécoise – et elles sont nombreuses. Mais agir de la sorte aurait été une grave erreur: ce nouveau disque de Viviane Audet est non seulement douloureusement beau, il est incontournable.
Ce disque permet de constater qu’il existe bel et bien une façon (un peu) différente de raconter une grande histoire, le tout sur fond de synthétiseurs, de néons et de combats contre les puissances maléfiques peuplant l’univers.
La voix de Séguin est toujours reconnaissable, mais elle se fait fragile et doucereuse. Elle est cependant soutenue par une musique intimiste qui bénéficie d’une excellente prise de son et d’une réalisation soignée.