Au final, un récit tout de même divertissant, mais émaillé de trop de clichés pour offrir quelque nouveauté aux lecteurs de polars avertis.
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C’est ce qui manque à cette saison : un fil conducteur qui nous permet de renouer avec la série qu’on a tant aimée au cours de la dernière décennie.
Ce qu’il est possible d’établir, c’est que pour son premier long-métrage, Vasilis Katsoupis s’est non seulement offert un excellent acteur, mais aussi un film profond qui offre une autre perspective sur notre existence.
Devant cette catastrophe qu’est The Last of Us, qui s’ajoute à l’horreur qu’était Uncharted : Legacy of Thieves Collection, c’est à se demander si les gens chez Naughty Dog aiment encore leur travail, ou s’ils souhaitent seulement amasser le plus d’argent possible avant de détruire le peu de réputation qui leur reste.
Pour le deuxième épisode de Rembobinage offert en primeur aux abonnés Patreon, Hugo Prévost et Kevin Laforest se commandent un Royale with cheese (ou un Big Kahuna burger, c’est selon) et s’attaquent à un monstre sacré.
L’équipe de l’émission revisite Seven, le thriller sanglant qui a véritablement lancé la carrière du cinéaste David Fincher.
Un Cronenberg, c’est bien, mais est-ce que deux Cronenberg, c’est mieux? Préparez-vous à des vacances très, très spéciales impliquant des substances hallucinogènes, des touristes qui se croient tout permis et un personnage principal qui plonge peu à peu dans la folie. À moins que tout cela ne soit une illusion…
The Apology ressemble malheureusement à quantité d’autres films du genre, l’aspect Noël en plus. C’est un peu l’équivalent de ce cadeau inintéressant reçu le 25 : on se force pour sourire un peu, mais intérieurement, on sait bien que tout cela sera rapidement oubliable.
Si l’on demeure indifférent par rapport au protagoniste d’une histoire, comment s’intéresser au reste? Quant à la grande révélation, la raison expliquant toutes ces transformations du monde de Théodore Moisan, on la voit malheureusement venir à l’avance.
Ultimement, Spiderhead est un film ordinaire, sans grand éclat ni grande révélation. Un peu comme si tous les outils à sa disposition étaient en fait émoussés, ou avaient eu le temps de rouiller.