Le Prénom est une belle comédie à voir pendant le temps des Fêtes, pour se détendre un peu. La distribution est excellente et l’action parfaitement menée, autant dans les dialogues que dans la gestuelle.
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Les gens, les lieux, les choses est un spectacle au sujet poignant, très soigné du point de vue esthétique, de la mise en scène et des performances d’acteurs, et qui ne laissera personne indifférent.
Justin Laramée imaginait sortir de ses investigations une courte présentation d’une dizaine de minutes, mais la pièce de deux heures est devenue le projet le plus important de sa vie.
La pièce pousse à de multiples réflexions. Et cela fait du bien dans un monde où – et la pièce le dénonce aussi – on agit avant de réfléchir, quand toutefois on réfléchit…
Gaz Bar Blues est un très beau spectacle, qui rend nostalgique d’un monde disparu, remplacé par un autre plus fonctionnel et pratique mais dont on regrette le charme d’antan.
Du coup, c’est du grand art, risqué et très difficile à tenir, entre burlesque et performances incroyablement maîtrisées.
Au sommet de la montagne n’est pas parfaite, tant s’en faut, mais l’oeuvre a certainement le mérite de posséder une distribution plus que solide, et surtout d’aborder des thèmes qui sont encore tristement présents dans notre société, malgré le passage des années.
Marc et Claudia se sont aimés. Passionnément, follement. Puis tout s’est arrêté, et la vie a suivi son cours. Mais est-ce bien le cas? Dans L’amour est un dumpling, une pièce de Mathieu Quesnel et Nathalie Doummar, mise en scène par Mathieu Quesnel et jouée chez Duceppe, les deux anciens amants découvriront que le passé est toujours bien présent.
Voilà une vingtaine d’années que La Face cachée de la Lune alterne entre les scènes d’ici et d’ailleurs. Interprétée par Yves Jacques, l’oeuvre de Robert Lepage, qui en signe le texte et la mise en scène, s’installe au Théâtre Jean-Duceppe jusqu’à la mi-mai.
C’est tout un défi de créer et de maintenir un suspense, dans une pièce de théâtre comme dans un récit, quand tout le monde sait comment l’histoire finit. Ce défi a été relevé haut la main par l’équipe qui joue et qui réalise Oslo, à l’affiche en ce moment et jusqu’au 13 octobre, chez Duceppe.