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Dans la foulée du Brexit, un sondage YouGov révèle que 43% des Britanniques pensent que l’Empire était une «bonne chose» et que 44% sont fiers du colonialisme. Remettant en question cette entreprise, l’article du professeur de science politique à la Portland State University de l’Oregon, Bruce Gilley publié dans le journal académique Third World Quarterly a fait réagir le milieu universitaire, rapporte le l’écrivain basé à Londres Kenan Malik dans le New York Review of Books du 26 janvier.

Au tournant du 20e siècle, la signature d’accords économiques, les manifestations altermondialistes ainsi que le développement du tourisme ont ouvert les frontières du globe. L’essai Nouvelles relations internationales de l’ancien diplomate et co-directeur du RAMSES pendant 14 ans à l’Institut français des relations internationales (IFRI), Philippe Moreau Defarges paru aux Éditions du Seuil aiguille le lecteur sur les grandes mutations du dernier quart de siècle.

Si les indépendantistes catalans rendent les autres gouvernements témoin de l’état d’exception subi en Catalogne selon La Vanguardia du 23 septembre, les autorités d’Écosse et du Pays de Galles réclament plus d’assurances post-Brexit au Royaume-Uni, d’après Reuters le 20 septembre. 

Si la plupart du temps, le président américain semble agir de façon irréfléchie et spontanée, la pression qu’il exerce sur les membres de l’OTAN pour allouer 2 % de leur PIB aux dépenses militaires rejoint sa vision stipulée dans An Open Letter from Donald J. Trump on Why America Should Stop Paying to Defend Countries That Can Afford to Defend Themselves, publiée par le New York Times, le Washington Post et le Boston Globe en 1987.

À Bratislava vendredi, les 27 représentants des pays membres de l’Union européenne ( UE ) se sont réunis sous l’impératif de reconquérir l’opinion sous peine de dislocation. Afin de négocier la sortie du Royaume-Uni, l’UE a désigné l’ex-premier ministre belge Guy Verhofstadt, l’un des plus fervents défenseurs du fédéralisme, d’après le quotidien espagnol El País le 9 septembre.

« Le drapeau espagnol est beaucoup plus prêt de se hisser à Gibraltar », a affirmé le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel García-Margallo, le lendemain du Brexit du 23 juin. Alors que son homologue britannique, Boris Johnson, a réaffirmé ce samedi que les résidents ne changeront pas de pays contre leur volonté, 96 % veulent rester dans le Royaume-Uni.