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Lundi dernier, à la Salle Bourgie, avait enfin lieu le concert Tchaïkovski et Tétreault avec l’Orchestre de chambre de McGill, sous la direction de Boris Brott. On aura deviné que le Tétreault du titre c’était Stéphane Tétreault, le violoncelliste québécois dont tout le monde parle, encore. Enfin, parce que le concert a dû être reporté de plusieurs semaines pour permettre au soliste invité de guérir d’une blessure à un doigt.

Le tout nouvel album de Mélisande McNabney, claveciniste, est paru chez ATMA Classique sous le numéro ACD2 2780 et s’appelle Inspirations. Il est le résultat d’un travail de recherche intéressant qui met en valeur des compositeurs moins connus comme Jean Henry D’Anglebert et Antoine Forqueray aux côtés du grand Jean-Philippe Rameau.

Le concert sera déprimant: qu’on se le tienne pour dit! Et pour cause, c’est l’auteur-compositeur-interprète Pierre Lapointe lui-même qui le dit. Pour l’une des dernières représentations de la tournée accompagnant la sortie de son plus récent album, La science du coeur, l’artiste s’est payé un concert doux-amer au Théâtre Outremont.

Eduardo Ruiz Vergara est un artiste généreux. Dans El Silencio de las cosas presentes, « le silence des choses présentes », il aspire à ce que les deux musiciens, les danseurs (lui et deux danseuses) et surtout le public parviennent à donner toute leur présence dans le moment qu’il leur fait vivre.

Selon la déclaration du maire de la ville de Chicago, Rahm Emanuel, plus de 57,6 millions de visiteurs se sont perdus à travers les édifices dans la brume du lac Michigan en 2018, une augmentation de 4,3% par rapport à l’année précédente, rapporte Time Out Chicago le 11 janvier.

Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.

Au diable ces flocons pugnaces et cette pluie froide, place aux vertes forêts du centre du Vieux Continent, la semaine dernière, dans le cadre d’un concert rassemblant Schubert, Schumann et Dvorak.

Quatre ans après un premier disque encensé par la critique, le groupe Ayrad lance vendredi Zoubida, deuxième galette débordant de chaleur, de couleur et de rythmes. De quoi oublier l’hiver hâtif qui semble désespérément vouloir s’infiltrer par les interstices d’une maison définitivement mal isolée.

Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922.