À défaut de nous écouter, on sait par contre, et depuis longtemps, que les appareils électroniques sont à l’affut d’ultrasons pour mieux envoyer de la publicité.
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Le succès d’un bon roman d’espionnage dépend très, très largement de son atmosphère. Ici, Septembre avant l’apocalypse a tout de la forme, mais pas assez du fond. Son atmosphère est ainsi limitée à un charabia technique inintéressant et une absence de substance.
Oui, le long-métrage est un peu lent; mais c’est dans cette lenteur que l’on peut détecter ce qui fait de cette oeuvre un grand film: sans artifices, sans fioritures, on nous présente une fascinante histoire d’espionnage, de mensonge et de manipulation qui, en soit, représente tout à fait son époque.
Documentaire qui est non seulement touchant, mais qui fait aussi réfléchir, A Compassionate Spy serait, en quelque sorte, le compagnon idéal d’Oppenheimer. Car au-delà du visuel et de l’esbrouffe, il y a de véritables questions morales et éthiques qui sont toujours d’actualité, aujourd’hui.
Ce qui rend cette lecture inoubliable, ce sont les instants immersifs et les ambiances évocatrices qui fusionnent harmonieusement réalité et fiction.
Rejoignez Hugo Prévost et Kevin Laforest pour explorer ce monstre d’action, d’explosions et de courses-poursuites sur fond d’intelligence artificielle mortellement dangereuse.
Ennuyeux, mal ficelé et redondant, Kandahar semble s’approprier la question afghane sans même chercher à s’y intéresser sur le plan humain ou philosophique. Un film d’action comme il s’en est déjà fait des centaines, à oublier dans les poubelles de l’histoire.
Le Trille du Diable fait partie de ces romans que l’on n’oublie pas. D’une brutalité et d’une justesse sans égale, et qui vaut clairement le détour.
L’espionnage – De 1940 à nos jours est davantage une curiosité qu’un ouvrage de référence. Le genre de livre qu’on lit en prenant le train (ou lors d’un voyage en avion). Pas un ratage, bien sûr, mais une réussite en demi-teinte, possiblement.
Il est assez spectaculaire de voir un film disposant d’un budget de 50 millions de dollars se planter si lamentablement. Rien, dans Operation Fortune, ne justifie son visionnement; pas même en se disant, bière à la main, qu’on passera au moins un moment correct.