Documentaire franchement intéressant, Grand Theft Hamlet prouve, hors de tout doute, l’existence de deux grandes vérités: tout d’abord, l’art, et plus particulièrement le théâtre, trouvera toujours une façon de resurgir, de percer à travers les couches ternes de la vie ordinaire. Ensuite, pas besoin de centaines de millions de dollars pour réaliser un film poignant et émouvant. À voir.
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Quelle puissance! Quelle beauté! La preuve, hors de tout doute, que les deux compositeurs ont leur place parmi les grands, les très grands de la musique. Et que l’OSM sait certainement y faire pour rendre une soirée inoubliable.
Programme double franchement audacieux, proposition décapante et renversante, Bobo et Momo + Cycle témoigne clairement de la volonté d’Espace libre de sortir des sentiers battus. Et on ne peut qu’espérer, en ces temps de conformité maladive, que cette velléité de changer les choses se poursuive encore longtemps.
Avec Bella Ciao, Baru offre certes un accès privilégié à la culture des Italiens installés en France, mais dépeint surtout le parcours, pas toujours évident, des déracinés, peu importe leur pays d’origine, ce qui donne une certaine universalité aux récits réunis ici.
Il y a 40 ans, Robert Zemeckis et Bob Gale donnaient vie à un concept simple: une comédie pour adolescents, avec un gros plus: des voyages dans le temps.
Force est de constater que le nouvel album de Charles Richard-Hamelin est un véritable jardin de perles.
Divisé en deux parties distinctes, le long-métrage perd alors de son intensité, de son intérêt et de sa pertinence en avançant. Le scénario brouillon n’arrive jamais à bien lier ses meurtres entre eux ou à prouver que son histoire mérite d’être racontée.
Cette épopée racontée par le biais de la réalité virtuelle nous permet d’expérimenter ce que nous n’avons jamais pu voir de nos propres yeux. Telle une fascinante plongée sensorielle au cœur de l’évolution, cette aventure immersive redonne vie à ce qui n’est plus… et invite à une réflexion profonde sur notre lien avec l’environnement.
Bref, Sirens of the Deep est un film correct, tout au plus. Nous sommes bien loin de Nightmare of the Wolf, sorti en 2021. Les amateurs de cet univers y trouveront peut-être leur compte, mais nous étions franchement en droit de nous attendre à mieux.
Avec pour seuls surtitres, le nom ou le titre des personnes qui arrivent sur scène, le spectateur arrive à suivre l’histoire originale ou à inventer sa propre histoire, tellement la chorégraphie et ses interprètes sont éloquents.