On peut passer sous silence les visuels génériques pour les personnages, le mauvais doublage, ou encore les incongruités avec les armes. Ce qui rebute fortement, ce sont ces contrôles et ces mécaniques brouillons, parfois sans queue ni tête. Attendons la suite.
Dix millions de copies vendues en trois jours : qu’est-ce qui explique le succès planétaire de Legend of Zelda : Tears of the Kingdom?
On évitera ici de dévoiler trop d’éléments du scénario, mais Honor Among Thieves recèle une bonne dose d’aventure, d’action, de magie, d’humour et, étrangement, de vedettes dont on ignorait la présence dans ce film.
Guardians of the Galaxy vol.3 est la marque évidente d’un créateur et probablement le meilleur exemple pour voir si on l’apprécie vraiment, au final. Le film est à mi-chemin entre la commande et son désir de finalement s’émanciper pour ce qu’il est vraiment, pour le meilleur et pour le pire.
Il serait dommage de gâcher son plaisir, puisque si le film est un peu long, avec Romain Duris (plus à l’aise que dans la collaboration précédente avec le réalisateur), Vincent Cassel et Pio Marmaï en plus au programme, on passe certainement un moment loin d’être déplaisant.
Bien que les voyages dans le temps aient été maintes et maintes fois utilisés dans la littérature fantastique, Julia Brandon tire son épingle du jeu en nous offrant un récit bien construit, qui mêle mystères, quêtes de vérité et d’identité.
Comment décrire la trilogie de jeux Voice of Cards? Trois jeux de rôle simples mécaniquement, mais à la narration et à la présentation incroyables.
L’oeuvre d’Alexandre Dumas reprend vie au grand écran sous la forme d’une saga en deux parties réalisée par Martin Bourboulon, et mettant en vedette François Civil, Eva Green, Pio Marmaï, Vincent Cassel et Romain Duris, entre autres têtes d’affiche.
Les très nombreuses qualités supplantent aisément ses défauts, et c’est sans surprise que l’on souhaite continuer à explorer cet univers complexe et riche en événements et aventures de toutes sortes, même après une dizaine d’heures de jeu, et en ayant à peine, semble-t-il, effleuré la surface de ce qu’il est possible d’accomplir.
King of the Castle plaira aux amateurs de titres « sociaux », où les divisions et la collaboration entre les participants ajouteront cette touche essentiel pour offrir une expérience franchement agréable… à condition de ne pas oublier de montrer ce qui se passe, et d’inviter assez d’amis.
