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Développé par Desert Fox et se présentant techniquement comme une suite à Bad Dream: Coma, Fever est un jeu d’exploration et d’aventure du type « pointe et clique » se déroulant dans un étrange monde post-apocalyptique où une encre bleue s’avère soudainement mortelle.

Présenté comme une adaptation officielle du jeu de rôle analogique du même nom, Call of Cthulhu est, comme son nom l’indique, une déclinaison vidéoludique de l’univers étrange et effrayant créé par H.P. Lovecraft. 

Si vous êtes de ceux qui pensez que, afin de plaire à un plus vaste public, les jeux vidéo sont devenus trop faciles dans les dernières années, Dead Cells, un « rogue-lite » qui fournit un niveau de difficulté un peu plus relevé que la moyenne, est définitivement pour vous.

Quelque chose de terrible s’est produit dans le monde de We Happy Few, le jeu d’aventure développé par le studio montréalais Compulsion Games. Et malheureusement, cette chose terrible concerne l’univers dystopique d’un Royaume-Uni paranoïaque en 1964, mais aussi le produit lui-même.

Il y a des choses qui ne changent pas: la nécessité de payer ses impôts, l’immensité de l’univers, et la passion des gens de chez Stardock pour les jeux se déroulant quelque part loin, très loin d’ici. Alors que les grands titres publiés par ce studio sont offerts à prix réduit, le temps de la traditionnelle vente estivale de la plateforme Steam, voilà que les développeurs planchent sur la prochaine pierre de l’édifice: Star Control: Origins.

On dit souvent de la cinéaste Ava DuVernay qu’elle est visionnaire, et, si son Selma était effectivement une production d’une immense importance, on se demande sincèrement comment elle a pu chuter aussi bas dans les méandres confus et formatés de l’usine de Disney avec une adaptation cinématographique de A Wrinkle in Time, d’après le roman de Madeleine L’engle, qui pourrait difficilement tomber autant à plat.

La place des arts recevait vendredi soir une nouvelle visite du petit sorcier à lunettes et de sa bande dans le cadre d’un « ciné-orchestre » d’Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban. Devant un écran géant de 12 mètres, l’œuvre du compositeur John Williams prend vie devant nos yeux. La musique est interprétée en direct par un orchestre symphonique et un chœur; la piste audio du film lui-même ne contenant que le dialogue des acteurs.

Dans le cadre de ses démarches pour rajeunir et diversifier le public assistant à ses concerts, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait mardi soir une projection du film E.T., l’extraterrestre. Pour l’occasion, la cheffe Dina Gilbert était aux commandes des musiciens pour donner vie à la fantastique trame sonore concoctée par le non moins excellent John Williams.

L’empire contre-attaque, alors que Disney continue d’épuiser jusqu’à la dernière miette une autre de ses franchises sans fin. Le résultat, visuellement splendide cela dit, agira rapidement comme un somnifère intellectuel, piégeant le spectateur face à une formule qui hypnotise jusqu’au plus profond des possibilités de l’ennui, évoquant en toute ironie une solitude (celle du titre?) nous amenant à espérer être ailleurs.

Ce qui causa la perte de notre aventurier, ce ne fut pas la créature mort-vivante qui courait vers lui à toute vitesse, ou encore l’inexorable marche du temps qui, parvenu à la fin de son voyage, condamna notre héros à une mort certaine. Non, ce fut plutôt ce piège, pourtant évité à l’aller, qui se déclencha sous les pieds imprudents de notre héros. Dans City of Brass, les erreurs ne pardonnent jamais, aussi bêtes soient-elles.