Direct, efficace, juste assez bien ficelé; Moments, qui sortira au début d’août, est un concentré franchement sympathique de classic rock comme il ne s’en fait presque plus. Attention, ça part!
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Au total, 84% des pièces les plus écoutées, l’an dernier, étaient de langue anglaise et interprétées par des artistes ne provenant pas du Québec.
Puisant dans son vaste répertoire, des premiers tubes, dont Ma gonzesse (1979), à Manu (1981) et Morgane de toi (1983), Renaud avait l’adhésion absolue de son public de tout âge à qui il a généreusement tendu le micro pour créer des chœurs infinis.
Il n’y aura sans doute plus jamais de mégaclaque comme a pu l’être Cross, le premier album qui a tout cassé – ou encore ce Phantom Part 2 démentiel, sur A Cross The Universe – et permis à Justice de s’imposer dans la foulée de Daft Punk, qui était déjà sur le départ. Mais on se prend malgré tout à espérer que les prochains disques seront non seulement proposés plus rapidement, mais auront aussi davantage de coeur au ventre qu’Hyperdrama.
Bien entendu, quatre titres, c’est peu, mais c’est tout de même suffisant pour indiquer que Cynthia Veilleux en a dans le ventre. Une preuve irréfutable qu’elle fait partie de ces artistes à surveiller, celles qui font cavalier seul pour s’imposer comme référence de la chanson à texte.
Il ne fait aucun doute que The Silver Cord fait partie des disques les plus aboutis, les plus complets du groupe. Création musicale aussi difficile à saisir que rocambolesque, cet album est à classer parmi ceux qui finissent par essouffler les mélomanes, tant ils sont exigeants.
Ce que l’on tente de dire, peut-être maladroitement, c’est que ce nouvel album est très, très bon. Clairement, Brian Jonestown Massacre n’a rien perdu de sa superbe, de son mordant.
Dans sa quête tradi-moderne, le griot Sissokho véhicule un message fort pour la cohésion : nous sommes tous pareils, des êtres humains.
Avec ses éclairages spéciaux et ses envolées de bulles de savon, tout le spectacle de Mamselle Ruiz est parfaitement réglé pour proposer au public un beau mélange de musique et d’arts circassiens.
Tour de force musical qui gagne en puissance à chaque écoute, PetroDragonic Apocalypse prouve que King Gizzard and the Lizard Wizard continue de gagner en maturité et en capacités mélodiques. Un album coup-de-poing qui appuie bien fort là où ça fait mal.