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La symphonie de la nature s’assourdit sous la pression des changements climatiques, rapporte le New York Times. De nombreux écologistes et scientifiques constatent que les parcs s’emplissent moins qu’avant des bourdonnements, trilles d’oiseaux et autres croassements.

Du riz plus résistant aux vagues de chaleur et plus productif, c’est la promesse d’une équipe de généticiens chinois dont l’étude vient de paraître dans Nature Plants. Les chercheurs ont visé l’amélioration de la photosynthèse de plants de moutarde en ajoutant un gène destiné à les protéger des dommages qui surviennent lors de grandes chaleurs.

Les changements climatiques pourraient entraîner un effondrement encore plus brutal de nombreuses espèces animales qu’on ne l’anticipe, selon une étude publiée dans la revue Nature, et ce à partir de la prochaine décennie.

Le réchauffement climatique poussera de nombreuses espèces de plantes à migrer vers le nord. Mais ce sera difficile pour l’érable à sucre (Acer saccharum) en raison des propriétés spécifiques des sols accueillant cet arbre si familier aux Québécois. Cela risque de limiter son expansion en altitude, résume une récente étude québécoise. 

Elles ont mis plus de 166 millions d’années à nous parvenir, ces gigantesques empreintes de dinosaures qui s’impriment sur le toit d’une grotte du sud de la France. D’une longueur de plus de 1,25 mètre, ce seraient les traces laissées par trois titanosaures  qui – on présume – se promenaient en bord de mer.

Une colonie de moules a réussi là où bon nombre d’espèces ont échoué: s’établir en Antarctique. Transportées dans la coque d’un navire, elles seraient les premières espèces marines non natives à s’ancrer sur le Continent Blanc, connu comme étant l’un des endroits les plus secs, les plus froids et les plus venteux de notre planète.

En Californie, les transformations climatiques ont fait en sorte que l’automne a davantage des allures d’été, avec une météo plus chaude et plus sèche, qui vient accroître les risques de saisons des feux de forêt qui sont plus longues et dangereuses, selon une nouvelle étude effectuée à l’Université Stanford.

Une bonne nouvelle dans la mauvaise nouvelle: le nouveau virus se répand vite, mais il ne subit pas beaucoup de mutations. Ça veut dire qu’un éventuel vaccin pourrait avoir une grande efficacité. Et ça rend aussi très improbable le scénario du pire, celui qui verrait le virus muter pour devenir encore plus dangereux. 

La plupart des gens l’ont oublié, mais la guérison de la couche d’ozone se poursuit: le « trou » continue de se résorber au-dessus de l’Antarctique, et on commence à pouvoir en mesurer l’influence sur… la direction des vents.