Malheureusement, la chose tient de l’occasion manquée. Oui, tout aborder était impensable, puisque le sujet est presque aussi vaste que la société humaine en général. Mais on aurait apprécié que l’on aille davantage au fond des choses, plutôt que de rester bêtement en surface.
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Au final, on regrettera donc que le film ne parviendra pas à développer un discours plus convainquant que de vouloir nous convaincre que les femmes ne vivent que via les hommes et trouvent seulement leur raisons d’être par le biais de leur présence dans leur vie.
Booger s’amuse avec les références au comportement et à l’existence des chats, mais ironiquement, le film ne tombe pas suffisamment dans l’étrange et l’extrême pour s’éloigner véritablement du lot, surtout que la chose ne dure que 75 minutes.
L’œuvre cinématographique est phénoménale. On en ressort soufflé par le récit, par le jeu des personnages, par l’attention apportée aux détails, bref, par l’ambition du projet.
Hugo Prévost et Kevin Laforest ramènent à la vie ce film d’aventure et d’horreur mettant en vedette Brendan Fraser et Rachel Weisz, dans cet épisode d’abord offert en primeur aux abonnés Patreon. Gare aux malédictions qui pourraient déclencher la fin du monde…
Le visionnement de films est aussi considéré comme l’acte le plus social, avec 43 % des gens indiquant qu’ils s’installent « toujours » ou « principalement » pour un long-métrage en compagnie d’autres personnes.
Sorte de Sex and the City mettant en vedette quatre femmes septuagénaires, Book Club: The Next Chapter constitue une ode à l’amitié, et propose une leçon sur l’importance de profiter du moment présent, surtout lorsque la majeure partie de sa vie est derrière soi. Il s’agit d’une suite agréable qui, sans trop changer la formule, devrait plaire aux amateurs du premier film.
Tous ont eu leur moment de gloire dans cette soirée, mais impossible de ne pas mentionner, comme je l’ai fait en 2021, l’immense talent de Didem Basar qui joue du kanun comme une déesse.
Sometimes I Think About Dying est ainsi une réflexion intéressante sur notre rapport aux relations sociales, à l’amour, et bien entendu à la mort, dans une société qui évacue généralement cette dernière question de sa réflexion collective.
En fait, le défaut de Barbie, le film, c’est son histoire, somme toute assez simple. La protagoniste traverse une crise existentielle qui la mènera à faire un grand voyage à la recherche d’elle-même, pendant lequel elle rencontrera des alliées. Pendant son absence, ce qu’elle considérait comme son chez soi se transforme drastiquement, et pas pour le mieux. On se croirait dans la royaume des lions sous le règne de Scar pendant l’exile de Simbra, dans Le Roi Lion…