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Le public de la Maison symphonique a été englouti sous une avalanche de notes mercredi soir dans le cadre d’un récital attendu du pianiste québécois Louis Lortie. Ainsi pourrait-on succinctement résumer ce concert-spectacle durant lequel le prodigieux pianiste, reconnu internationalement pour ses interprétations de l’œuvre de Chopin, nous aura tenus en haleine durant plus de deux heures.

Dans un monde perpétuellement plongé en guerre, où la liberté de pensée s’est peu à peu effacée face à la résignation et à l’acception de l’institutionnalisation de la violence par les autorités, une jeune femme tente de faire la différence. Ou, du moins, de surnager assez longtemps pour reprendre son souffle.

Après leurs brillantes transpositions du Caligula d’Albert Camus (Caligula_remix) et du Dom Juan de Molière (Dom Juan_uncensored), le duo Marc Beaupré et François Blouin récidivent et nous présentent leur nouvelle création, leur superbe diamant brut: Hamlet_Director’s Cut. Et on a droit à un rare moment théâtral d’une exquise sensibilité.

La Révolution russe de 1917 a eu une influence notoire sur la société russe en général, mais également sur le milieu artistique. Même s’ils ont cru qu’une nouvelle ère débutait, de nombreux artistes ont été victimes du régime politique. C’est ce que le documentaire Silenced – Composers in Revolutionary Russia explique, cherchant à réhabiliter les compositeurs musicaux qui ont sombré dans l’oubli.

Deux champions du box-office se disputent les tablettes des magasins et des vidéos dès mardi. Une belle chance pour les retardataires de rattraper deux dérivés, l’un, d’une des franchises les plus lucratives de tous les temps, l’autre, d’une des téléséries marquantes de la culture québécoise.

« Il me semble que ça fait toujours tellement de bien de quitter Ottawa », je souris en me tournant vers Marie-Michelle, qui plisse les yeux alors que les derniers rayons de soleil se glissent entre les parois de sa petite Toyota grise. Dernière nous, la capitale canadienne offre son morne panorama d’édifices gouvernementaux délavés.

L’Agora de la danse présente, du 29 mars au 1er avril, un solo troublant intitulé When the ice melts, will we drink the water? Chorégraphiée par Daina Ashbee, à peine âgée de 26 ans, la pièce s’est mérité le titre de meilleure œuvre chorégraphique de l’année 2016 aux Prix de la danse de Montréal. Cette fois-ci, elle est présentée au sous-sol du nouvel édifice Wilder toujours en construction, dans la salle bleue aussi appelée Espace Florence-Junca- Adenot.

La demande est tombée par courriel: voulait-on, chez Pieuvre.ca, critiquer un livre de fantasy se déroulant dans un monde peuplé de démons, de créatures mystérieuses et de pouvoirs magiques? N’écoutant que notre courage (et notre coeur d’adolescent), nous avons plongé dans The Bones of the Past, de Craig A. Munro.

Du conflit colombien à la bohème montréalaise, l’auteur Edwin Bermudez s’inspire de son vécu dans son recueil de nouvelles Contes héroïques paru chez Mon Petit Éditeur en 2017. Le lancement du livre aura lieu le 2 avril à l’EtOH Brasserie, dans le quartier Villeray, à 17 heures.