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Sur les planches du TNM, jusqu’au 14 avril, on présente L’Idiot, un texte d’Étienne Lepage, d’après le roman de Fiodor Dostoïevski et dans une mise en scène de Catherine Vidal. Bâtie sur un texte archi connu, la pièce est soutenue par une solide distribution dont font partie, Macha Limonchik, Paul Savoie, Paul Ahmarani, Renaud Lacelle-Bourdon, Évelyne Brochu et sept autres comédiennes et comédiens.

La dictature de Joseph Staline (1878-1953) en Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) a été l’une des plus horribles de l’histoire de l’humanité. Le film franco-britannique The Death of Stalin (2017) coécrit et réalisé par Armando Iannucci aborde les lendemains incertains de ce règne entre comédie et tragédie.

En Chine, en plein coeur d’une ville moderne, remplie de gratte-ciels et autres énormités en béton, se dresse Shibati, le dernier quartier traditionnel chinois de cette métropole. Pendant 60 minutes, le cinéaste français Hendrick Dussolier explore cet univers condamné à la destruction dans le cadre du cycle mensuel RIDM+ organisé par les Rencontres internationales du documentaire.

Plus qu’une simple comédie de mœurs, Father Figures, le tout premier film du réalisateur Lawrence Sher, parvient à dérider tout en posant des questions essentielles sur la signification de la paternité à notre époque.

I’m finding it very hard to dislike Steven Spielberg. It seems that enjoying his repertoire is the equivalent to liking ice cream and laughing. It’s rare to find someone who doesn’t like either. His newest movie to come out is Ready Player One, based on Ernest Kline’s novel of the same name. It could have been a glorified computer graphic nightmare, full of nostalgia lacking any kind of substance. But in the hands of the man who made some of the most memorable and stunning movies, it turned out to be a heartfelt love letter for gamers and geeks alike. Insert credit for Ready Player One.

J’aime de Philippe Ducros un théâtre d’impassibilité et de transmission. La cartomancie du territoire est plus prudente que ses dernières pièces. C’est le symptôme d’un travail fait avec respect, et c’est tout à l’honneur de l’équipe de création.

Ce n’est plus seulement l’âge adulte assumé, c’est une pleine maturité qui caractérise l’orchestre de chambre montréalais I Musici. En effet, cette année souligne la 35e saison de l’orchestre et c’est toute une programmation et toute une brochette de grands interprètes qui attendent les mélomanes.

L’un des cinéastes contemporains les plus singuliers et facilement identifiable de notre époque est de retour avec une deuxième proposition en animation image par image, livrant une nouvelle dose de folie adorable, amusante et hilarante dont il est le seul à détenir le secret de son indéniable et irrésistible créativité. Bien plus qu’un admirable jeu de mots auditif, Isle of Dogs est une nouvelle splendeur qui s’approche considérablement de la très grande œuvre.

C’est aux éditions Métailié qu’on retrouve le plus récent roman de l’Islandais Gudbergur Bergsson, Il n’en revint que trois. Rappelons que Bergsson publie depuis 1961 et qu’il a déjà une vingtaine d’ouvrages à son actif, en plus de ses traductions.