Marry Me est donc une œuvre classique, décidément, mais juste assez soignée et conscientisée pour s’élever au-dessus de bon nombre de productions du genre, dont certaines sont décidément très oubliables.
Browsing: Cinéma / Télévision
Pour l’occasion, Hugo Prévost retrouve Jean-Philippe Guilbault pour discuter de ce mélange d’action, d’aventure et de mythologie offert sur Disney+.
Le film n’est pas mauvais. Il est simplement… ordinaire. De quoi occuper une soirée en cherchant quelque chose sur Netflix, certainement.
Les protagonistes sont là, ils existent, chacun avec ses joies, ses peines, ses désirs et ses craintes. Et l’ensemble clique, tout fonctionne.
Doctor Strange in the Multiverse of Madness représente un certain miracle : soit d’arriver à ne rien faire de satisfaisant autant avec le talent réuni que les possibilités qui lui étaient offertes et ce, pratiquement sur un plateau d’argent.
Ultimement, donc, cette première saison de Tokyo Vice est bonne, mais on suit le déroulement de l’intrigue sans très grand enthousiasme. Comme s’il manquait quelque chose… Peut-être est-ce simplement ce journaliste qui s’ennuie de parler de journalisme?
Ambulance tient de la crème glacée, ou du gros sac de popcorn: le goût peut être satisfaisant, sur le coup, mais impossible de nier que l’ensemble n’est formé que de calories vides qui seront bien rapidement oubliées.
Le film est un témoin du moment où la réalité virtuelle était la nouvelle tendance, où le début d’internet laisse entrevoir un monde de possibilités infinies, et où la technologie était à la fois mystérieuse et merveilleuse.
Le jeune réalisateur, qui souhaitait rendre le mieux possible le sujet, n’a pas hésité à bien s’entourer tout au long du processus en s’informant convenablement auprès de spécialistes.
L’Automat fut un pan de l’Amérique qui est disparu, mais qui n’est pas oublié. Et cela, The Automat le transmet sans faille aux cinéphiles et aux nostalgiques.