Les adaptations de bandes dessinées au grand écran ne datent pas d’hier; avant Marvel et sa machine à imprimer de l’argent en sortant ce qui pourrait passer pour des copies remâchées du même film, il y a eu Dick Tracy, Spawn et bien d’autres tentatives, mais, surtout, il y a eu Blade.
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À deux pas du désastre se trouve la comédie française Radin!, qui aurait beaucoup gagné à investir davantage d’assurance dans ses jolis élans d’absurdité et de folie. Pour les admirateurs de Dany Boon, la sortie DVD fait tout de même passer une sympathique soirée.
Les amateurs de Sherlock ont dû patienter un bon moment avant de connaître la suite des aventures de leur détective préféré, mais l’attente en valait la peine, puisque la quatrième saison de cette série télévisée de la BBC s’avère aussi jouissive que les précédentes.
Loin de nous l’idée d’amenuiser l’importance et la nécessité d’un documentaire sur les injustices qu’a subi et subit encore le peuple afro-américain en Amérique. Seulement, on est beaucoup plus alarmé par les méthodes entreprises par ce long-métrage étrangement réalisé afin de parvenir à ces fins. I Am Not Your Negro s’amène sur les écrans du Québec et on peut s’assurer qu’il fera jaser.
Même s’il ne renie en rien son goût marqué pour la violence, l’histoire et sa fascination aux limites du fanatisme pour la religion, on ne s’attendait pas à un tel retour du controversé Mel Gibson avec cet Hacksaw Ridge, fascinant objet plutôt longuet qui se vaut un succès critique et populaire assez marqué. Sa sortie en DVD est l’occasion parfaite de l’attraper chez soi et d’essayer de comprendre sa place parmi les prestigieux candidats au Meilleur Film à la prochaine cérémonie des Oscars.
Le futur: dans les rues de Los Angeles, les soldats lourdement armés font régner la terreur d’un état d’urgence perpétuel. Et à la nuit tombée, de sinistres drones prennent le relais, avec le pouvoir de vaporiser toute personne s’opposant à l’ordre établi. Nous sommes en 2015. Bienvenue dans Colony.
Feel-good movie suédois relativement simpliste, mais facilement efficace, A Man Called Ove use d’humour et de larmes pour réchauffer le coeur et rappeler que la vie s’apprécie dans toutes ses facettes, et ce, à chaque instant.
Gore Verbinski est passé à deux doigts, bon peut-être plus deux mains, de créer une véritable œuvre d’art. Puisque, faut-il avouer, il se met la plupart du temps les pieds dans les plats dans ce qui apparaît comme un sous Shutter Island qui ne parvient jamais vraiment à embrasser ses véritables ambitions.
Œuvre énigmatique à la portée infinie, Toni Erdmann est sans conteste le bijou dont tout le monde parle à condition de se laisser prendre par l’étreinte qu’il finit par nous tendre de par ses détours aussi saugrenus que déchirants.
Peu de polyvalentes peuvent se vanter d’avoir un personnel encore moins mature que les adolescents fréquentant l’établissement, mais c’est pourtant le cas de Vice Principals, la nouvelle comédie créée par Jody Hill et Danny McBride.