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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»Ride 4, ou la course au réalisme
    L'affiche du jeu

    Ride 4, ou la course au réalisme

    0
    Par Patrick Robert le 3 novembre 2020 Jeux vidéo

    Possédant tout le réalisme et la complexité d’un simulateur mais rien du plaisir d’une expérience de type arcade, Ride 4 est un jeu de course impardonnable et difficile d’approche, qui risque de frustrer bien des joueurs.

    Pour son quatrième opus, la série Ride a complètement remanié son mode « Carrière », qui est le cœur du jeu. On choisit tout d’abord l’une des trois ligues (américaine, européenne ou asiatique) dans laquelle on devra faire ses preuves et augmenter sa réputation avant de pouvoir accéder aux séries mondiales. Chaque événement, course et défi spécial auquel on participe accorde un certain montant d’argent, qui varie en fonction de notre position à la ligne d’arrivée, et permet d’acheter des bécanes plus puissantes. On obtient aussi des points d’expérience, et notre pilote monte de niveau graduellement, ce qui donne accès à de nouvelles épreuves. Le jeu incorpore également un système d’affinités, et plus on utilise la moto d’un constructeur particulier, plus les récompenses sont généreuses.

    Ce sont de vraies marques qu’on retrouve dans Ride 4, parmi lesquelles Yamaha, Kawasaki, Honda, Suzuki ou Triumph. Recréées à partir des plans originaux et de scans 3D, les 175 motos disponibles dans le jeu sont donc des répliques exactes des modèles qu’on peut se procurer sur le marché. Le souci du détail va jusqu’à afficher, en temps réel, les informations du tableau de bord, comme la vitesse, la température ou le niveau de l’huile. En plus des options cosmétiques permettant de changer la couleur de la carrosserie ou d’apposer des vinyles, on peut également modifier la mécanique elle-même, de la suspension à la dureté des ressorts, en passant par la transmission, l’accélération ou les freins. Ces options s’adressent toutefois aux mécaniciens en herbe, et laisseront perplexes les motards néophytes.

    Image tirée du jeu

    Avec la gâchette de droite de la manette servant à accélérer et celle de gauche à freiner, les contrôles de Ride 4 sont d’une simplicité désarmante, ce qui ne veut pas dire qu’ils soient faciles à prendre en main. Les commandes sont incroyablement sensibles, et il ne suffit pas de grand-chose pour prendre le champ, et voir son pilote catapulté des dizaines de mètres plus loin. Le titre est impardonnable, et dès qu’on effleure moindrement la bande rugueuse, on est immédiatement disqualifié. Même avec tous les assistants de conduite activés (simulation de physique simplifiée, transmission semi-automatique, freins automatiques, trajectoire idéale affichée sur la piste, pas d’usure des pneus), l’expérience n’est pas très accessible, et frustrera les nouveaux venus par son niveau de difficulté.

    Le titre compte pas moins de trente circuits différents, inspirés des plus célèbres pistes de championnats de moto à travers le monde, mais il n’y a pas de spectateurs dans les estrades, ce qui diminue grandement l’ambiance, habituellement survoltée, de ce genre de compétitions. Avec un cycle jour/nuit et une météo dynamique, les rendus sont déjà magnifiques, mais ceux et celles qui se procureront Ride 4 auront droit à une mise à niveau gratuite en janvier 2021, qui tirera profit de la puissance graphique des consoles de nouvelle génération. En plus du mode carrière, on retrouve aussi un mode « Endurance », la possibilité de participer à des courses rapides, et un mode multijoueurs en ligne, dont les lobbies sont assez dégarnis pour le moment.

    Oubliez le grisant sentiment de liberté que procure la moto, puisque Ride 4 est une simulation encore plus pointue que Forza, et son expérience ardue et peu gratifiante ne plaira qu’aux puristes de la moto, et aux inconditionnels de la franchise.

    6/10

    Ride 4

    Développeur & éditeur : Milestone

    Plateformes : PS4, Windows et Xbox One (testé sur PS4)

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    Patrick Robert
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    Cinéma, musique, jeux vidéo ou bandes-dessinées, Patrick partage sa passion pour la culture populaire depuis plusieurs années à travers les critiques, les entrevues, ou les textes d’actualité qu’il signe pour de nombreux médias, parmi lesquels le blogue de Ztélé, La Vitrine, Le Coin du DVD, et évidemment, Pieuvre.ca.

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