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    Sauter à pieds joints dans la nostalgie, avec Rad Rodgers

    2
    Par Patrick Robert le 25 février 2018 Jeux vidéo

    Mélangeant plates-formes, puzzles et jeu de tir dans un emballage rigolo, Rad Rodgers constitue un très bel hommage aux classiques des années 1990.

    Rad Rodgers nous replonge à une époque où les jeux de plates-formes demandaient de la dextérité, de la précision, et surtout, une bonne dose de persévérance. Véritable hommage aux classiques des années 1990 (comme Commander Keen ou Jazz Jackrabbit), le titre met en vedette un garçon transporté magiquement à l’intérieur d’un jeu vidéo qui devra stopper l’étrange maladie pixellisant des pans entiers de ce monde virtuel s’il veut retrouver le chemin de la maison.

    Dans chaque niveau, il faut trouver les quatre morceaux d’un artéfact permettant d’ouvrir la porte et de passer au suivant, mais comme les environnements regorgent d’endroits difficilement accessibles ou secrets, compléter un seul tableau peut prendre une bonne quarantaine de minutes, surtout avec les nombreux objets à collectionner, dont une vingtaine de chapeaux différents (casque de Viking, casquette à hélice), qui attribuent chacun des bonus à notre personnage.

    Image tirée du jeu

    Rad Rodgers intègre aussi des éléments de jeu de tir à son expérience, et contrairement à un célèbre plombier italien, le garçon dispose d’un arsenal varié d’armes à feu pour neutraliser ses ennemis. Le robot qu’il transporte dans son sac à dos peut en plus se déplacer dans l’envers du décor afin de résoudre des puzzles et matérialiser les plates-formes et autres éléments cruciaux que « les développeurs ont été trop paresseux pour programmer ».

    L’humour est d’ailleurs partie prenante du jeu, et en plus d’une version convenant aux plus jeunes, Rad Rodgers en propose une autre pour adultes avertis, incluant gros mots et blagues irrévérencieuses. Il est assez particulier d’entendre des jurons dans une expérience de plates-formes, dont le ton est habituellement très familial, mais en même temps, ceux et celles qui ont connu les classiques des années 1990 (à qui le titre rend hommage) ne sont plus des enfants de chœur.

    Image tirée du jeu

    Présentés dans une vue horizontale, les graphiques en 2.5D de Rad Rodgers sont colorés, et la pixellisation rongeant les environnements donne des effets visuels intéressants. Le jeu pousse l’hommage rétro jusque dans sa trame sonore et son interface, et toutes les informations superposées à l’écran (points de vie, chronomètre, etc.) sont affichées en 8 bits. On peut aussi comparer ses performances avec les autres par le biais d’un tableau de classement mondial.

    Grâce à ses mécaniques solides et ses nombreux clins d’œil humoristiques aux classiques du genre, Rad Rodgers permet de renouer avec le plaisir indémodable qu’offrent les jeux de plates-formes.

    7/10

    Rad Rodgers

    Développeur : Slipgate Studios

    Éditeur : THQ Nordic

    Plateformes : Windows, PS4, Xbox One (testé sur Xbox One)

    Jeu disponible en français (textes à l’écran seulement)


    En complément:

    The Seven Deadly Sins: Knights of Britannia, un jeu de très mauvais goût, surtout à l’heure du #MeToo

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    Patrick Robert
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    Cinéma, musique, jeux vidéo ou bandes-dessinées, Patrick partage sa passion pour la culture populaire depuis plusieurs années à travers les critiques, les entrevues, ou les textes d’actualité qu’il signe pour de nombreux médias, parmi lesquels le blogue de Ztélé, La Vitrine, Le Coin du DVD, et évidemment, Pieuvre.ca.

    2 commentaires

    1. Pingback: Test Rad Rodgers - Patrick Robert

    2. Pingback: La leçon d’histoire de Kingdom Come: Deliverance

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