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Hilarante comédie sur un sujet particulièrement léger, Les filles et les garçons, présentée à La Licorne, permet au spectateur de passer un moment plus qu’agréable et de ressortir de l’institution culturelle sans aucune colère, aucune peine, et aucune désespérante sensation de froid à l’intérieur de soi.

Étrange proposition que cette minisérie sur Dracula, d’abord diffusée sur la BBC, puis sur Netflix quelques jours plus tard. Étrange, en effet, mais pas dénuée de charme, même si cette proposition télévisuelle de la part de la même équipe qui dirigeait Sherlock, Mark Gatiss et Steven Moffat, part hélas un peu dans tous les sens.

Roman puissant, roman émouvant, roman dérangeant: La mort de Roi, première oeuvre littéraire de Gabrielle Lisa Collard, vient un peu brasser la cage en mettant en scène Max, jeune femme en apparence tout à fait ordinaire, propre sur elle, respectueuse des normes, mais qui cache en fait un lourd secret.

Les amateurs de science-fiction avaient tout à craindre de cette quatrième saison de la série The Expanse. Après trois années largement passées dans l’espace, voilà que le scénario transporte nos héros, l’équipage du Rocinante débarque sur New Terra, la première planète colonisée à l’extérieur du système solaire. Le problème, c’est que rien n’ira comme prévu…

La réputation de Michel Rabagliati n’est plus à faire. Bédéiste de talent, dont l’oeuvre a entre autres été immortalisée au grand écran, avec Paul à Québec, le voilà qui propose Paul à la maison,  plus récente déclinaison des aventures de son alter-ego « bédé-esque », dont la lecture laisse hélas un peu indifférent.

Les Éditions du passage faisaient récemment paraître Tout le monde dort, un livre pour enfants, écrit par Iris Amizlev et illustré par Pnina C. Gagnon. Il s’agit d’un format de 20 centimètres par 26, d’une soixantaine de pages et à la couverture rigide.

Ce ne sera pas une grande surprise que de déclarer qu’avec une telle distribution et une prémisse aussi peu développée, les interprètes de Like a Boss sont décidément meilleurs que le film dans lequel ils doivent patauger. En ressort alors l’ombre d’une bonne comédie qui ne fonctionne pas vraiment, mais qui trouve néanmoins le moyen de nous divertir et, à ses heures, nous faire rire.

Surprenante proposition que celle du Witcher, le plus récent pari télévisuel de haut vol de Netflix. Adaptée de la série de livres et de jeux vidéo de cet étrange univers fantastique est-européen – et plus précisément du premier recueil de nouvelles –, la télésérie prouve hors de tout doute qu’il n’est certainement pas nécessaire de disposer des fonds de HBO ou de la maestria de Peter Jackson pour séduire un public en manque de divertissement avec une bonne dose de magie.