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Ah, Doom! La célébration, en décembre dernier, des 25 ans du titre original de la série fut l’occasion, pour ce journaliste, de revisiter la plus récente déclinaison du jeu éponyme, publiée en 2016 par Bethesda Softworks et développée, bien entendu, par id Software.

Les développeurs du studio New World Interactive sont toujours aussi actifs, dévoilant cette semaine une troisième mouture de leur série Insurgency. Après le titre éponyme, sorti en 2016, puis Day of Infamy, une modification à thématique de Deuxième Guerre mondiale lancée l’année suivante, voilà donc Sandstorm. Et toute référence à Darude est interdite.

Qui n’a jamais rêvé de contrôler un robot géant et de combattre une ordre d’adversaires eux aussi mécaniques et gigantesques, tout en s’affrontant dans une ville où les immeubles s’effondrent comme des fétus de paille, victimes collatérales des affrontements? Override: Mech City Brawl tente de combler ce besoin essentiel avec un titre récemment sorti sur Steam, PlayStation 4 et Xbox One.

Près des deux tiers des Canadiens se définissent comme des joueurs, révèle une étude récemment publiée par l’Association canadienne du logiciel de divertissement. Au pays, cela représente donc plus de 23 millions de personnes.

Il y a de ces jeux qui correspondent exactement à l’idée qu’il est possible de s’en faire. Développé par Treyarch et les gens de Beenox, à Québec, Call of Duty – Black Ops 4 est un jeu de tir à la première personne multijoueurs qui devrait plaire, hé bien, aux amateurs de Call of Duty.

Il y a quelque chose d’hypnotisant dans Hypergun, ce jeu de tir à la première personne parsemé d’aspects rogue-lite développé et publié par NVYVE Studios. D’assez hypnotisant, en tout cas, pour qu’on y retourne. Encore, et encore, et encore.

Il vient un temps où, dans la vie de tout joueur de jeux vidéo qui se respecte, l’on souhaite délaisser quelques instants les armes automatiques, les épées, les villes à gérer ou encore les empires galactiques à développer pour revenir aux vraies choses, à l’essentiel. Et pour cela, il y a Ultimate Fishing Simulator.

Quelque chose de terrible s’est produit dans le monde de We Happy Few, le jeu d’aventure développé par le studio montréalais Compulsion Games. Et malheureusement, cette chose terrible concerne l’univers dystopique d’un Royaume-Uni paranoïaque en 1964, mais aussi le produit lui-même.

Il y a quelque chose de franchement satisfaisant à sentir sa voiture télescoper le véhicule d’un adversaire et d’envoyer celui-ci dans le fossé, après quelques tonneaux. Et pour éviter de transposer cette envie de vitesse et de carambolages autrement qu’avec une manette entre les mains, les développeurs de chez Bugbear lançaient la semaine dernière Wreckfest, une simulation de conduite pas piquée des vers.

Plus vite, toujours plus vite. C’est pied au plancher qu’il faut parcourir l’univers d’Antigraviator, un jeu de course futuriste développé par les gens de chez Cybernetic Walrus et publié par Iceberg Interactive. Pied au plancher, oui, mais aussi sourire aux lèvres… même si l’on a tout à la fois les mains crispées sur la manette pour tenter de retrancher une fraction de seconde et ainsi remporter la partie.