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Pour environ 1350$, il est clair que l’A14 s’adresse à des consommateurs qui recherchent expressément une portabilité accrue, quitte à sacrifier une partie de la connectivité physique, notamment. Il s’agit d’une très bonne machine, au demeurant, mais pour le plus grand public, il se peut que des choix moins dispendieux soient plus appropriés.

Clairement développé dans l’intention de brasser les cartes, dans le marché saturé des horde survivors, Wildkeepers Rising rate malheureusement la cible en enlevant le contrôle des mains du joueurs. Peut-être que la situation s’améliore après quelques heures de progression; l’intérêt se sera probablement évaporé bien avant.

Si Gravelord n’est certainement pas dénué de bonnes intentions, il existe plusieurs choses à corriger si l’on veut espérer prétendre jouer dans la cour des grands. Trop difficile pour offrir ce sentiment de puissance démultipliée associé au genre, avec une musique quasi absente… le titre a besoin d’un retour sur la planche à dessin.

For this 25th episode of SVGA, Hugo and Robert talk about this first person shooter that defined « cool » and « edgy » almost three decades ago.

Si l’on joue déjà à des jeux qui se transposent bien sur un appareil portatif, alors la puissance, la versatilité, l’autonomie et la qualité de fabrication du ROG Ally X en feront un choix idéal. Autrement, les 1100 $ réclamés pour acquérir cet engin auront malheureusement des allures de dépense superflue, même en tenant compte de toutes les prouesses techniques offertes.

Toutes les belles fioritures de Beat Hazard 3 semblent avoir encore besoin d’amour, même si le jeu a déjà passé pas mal de temps en accès anticipé. Il reste bien sûr le jeu en solo, mais dans ce cas, si l’on possède un précédent volet de la trilogie, l’achat de ce troisième titre de la série peut faire l’objet d’un débat.

Mal conçu, intéressant par la bande, mais plus ennuyant et frustrant qu’autre chose, Nuke Them All affirme « réinventer le genre » du jeu de stratégie en temps réel. Une bonne occasion de se rappeler que « réinventer » ne veut pas toujours dire « améliorer ».

Ghost of Tsushima n’est pas demeuré exclusif aux consoles de Sony pendant quatre ans sans raison. C’est l’un des meilleurs jeux de sa génération. Le genre qui aide à vendre une console. Ses créateurs ont su puiser çà et là de bonnes idées qui se complètent et qui s’imbriquent dans un tout unique, sculpté avec passion. Le résultat est proche du sans-faute.