Browsing: suspense

On le connaît avant tout pour son personnage de Victor Lessard, dont les aventures ont été portées au petit écran, mais la bande dessinée Sous la surface, adaptée du roman du même nom, permet de découvrir une autre facette de l’auteur québécois Martin Michaud.

Chaque nouveau film de Rian Johnson est moins intéressant que le précédent. Cette réflexion continue  de se concrétiser avec le délirant Knives out, qui aurait gagné à mieux faire confiance à son spectateur au lieu de jouer au plus malin avec lui.

Surtout associée à des rôles de femmes sympathiques et douces, l’actrice Octavia Spencer livre une performance pour le moins étonnante dans Ma, un thriller de Tate Taylor disponible dès aujourd’hui en 4K, Blu-ray et DVD.

Mais qui sont-ils, ces fieffés coquins de chez Netflix qui nous larguent une nouvelle saison de Stranger Things, un an et demie après la précédente mouture? Voilà qu’après la thématique Halloween de 2017, les frères Matt et Ross Duffer s’en donne à coeur joie avec une troisième saison s’articulant autour des fêtes du 4 juillet, la célébration de l’indépendance américaine. L’Oncle Sam fête avec des pétards, et pour péter, ça pète!

Qualifié de « maître québécois du suspense », Martin Michaud fait de plus en plus parler de lui, et après sa série Victor Lessard, portée au petit écran, c’est au tour de son roman Sous la surface de connaître une adaptation, mais en bande dessinée cette fois-ci.

Nous sommes les autres (2017) du cinéaste Jean-François Asselin coscénarisé par Jacques Drolet a été projeté dans le cadre des Rendez-Vous du cinéma québécois 2018. Lors d’une discussion animée après le film, le duo a expliqué qu’ils ont été incapables de le classer dans une catégorie de genre.

Le génie du cinéaste grec Yorgos Lanthimos n’est plus à prouver et pourtant, même pour les cinéphiles avertis, il parvient encore à surprendre à chaque détour. On aimerait donc déclarer que The Killing of a Sacred Deer est sa proposition la plus décalée, mais face au contenu de son envieuse filmographie, on dira seulement qu’il s’agit à nouveau d’une œuvre rien de moins qu’admirable tout autant qu’elle est déroutante.