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C’est vendredi soir, à la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, que la mouture 2017 de l’Orchestre de la Francophonie donnait son ultime concert. Dans un véritable four, chauffé à plus de 30 degrés, les jeunes musiciens ont eu l’occasion de montrer l’ampleur de leurs talents dans un programme concocté à la dernière minute et pour lequel ils n’ont eu que très peu de temps pour répéter.

Que se passe-t-il à minuit ? On ne le sait pas. Est-ce que le temps s’arrête ou est-ce la vie qui reprend son cours après ce moment suspendu? La compagnie XY et ses vingt-deux acrobates ne s’encombrent pas de narration superflue. Pas de scénographie non plus. Il n’est pas encore minuit est une réflexion performative, pour ne pas dire une déclaration acrobatique, sur notre devoir de coordonner nos forces vives avec tout ce qu’elles portent de complémentarité.

Dans la famille Carabinier-Lépine, donnez-moi le frère, la sœur, la compagne, le beau-frère et même les parents et les neveux, deux petites têtes blondes faisant leur apparition au salut, tout comme leurs grands-parents. Parce que, oui, le Cirque Alfonse, c’est une histoire de famille! Agrémentez le tout de quelques amis, et vous avez là une belle gang de joyeux lurons, qui sauront vous faire passer une bonne soirée.

À la Maison symphonique de Montréal, le 5 juillet dernier, avait lieu une soirée plutôt spéciale. Il s’agit de la presque rencontre de deux mondes musicaux dans le cadre de deux festivals de musique concurrents : le Festival d’orgue de Montréal, associé au Festival international de jazz de Montréal. Le seul véritable objet commun entre les deux spectacles présentés ce soir-là? Le grand orgue Pierre-Béique, cette merveille issue du génie de Casavant Frères.

À l’occasion du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, est né le Festival d’orgue de Montréal, en collaboration avec l’American Guild of Organists, le Collège royal canadien des organistes et le Concours international d’orgue du Canada. Les organisateurs nous annoncent ainsi le plus grand rassemblement d’organistes qu’on ait vu d’un océan à l’autre.

Samedi soir dernier, à la Maison symphonique, les Violons du Roy et La Chapelle de Québec présentaient le demi-opéra Le roi Arthur d’Henry Purcell. Sous la direction du fondateur des Violons du Roy, Bernard Labadie, les solistes invités étaient Anna Prohaska, soprano; Daniel Moody, contre-ténor; Andrew Staples, ténor; Tyler Duncan, baryton.