Est-ce que The Bear est une bonne série? Tout dépend de la façon dont vous définissez le terme. Réaliste? Oui. Terriblement humaine? Absolument. Parfois fâchante, voire agressante, en raison des nombreux conflits et de la toxicité? Tout à fait. Mais on déplorera que la fin, si elle permet d’ouvrir la voie vers une deuxième saison, tient justement un peu trop du conte de fées pour son propre bien.
Trois heures et des poussières après avoir entamé le premier plat, force est d’admettre que manger à la cabane au Pied de Cochon est aussi décadent qu’exigeant. Une saga gastronomique tout à fait abordable en tenant compte de la qualité et de la quantité, mais dans laquelle on ne se lancera qu’à l’occasion.
« Les chefs qui n’avaient pas souffert pouvaient difficilement affirmer qu’ils faisaient partie de la communauté culinaire, dans le sens le plus direct du terme. Ils n’étaient pas de vrais chefs. »
Plusieurs données ont indiqué que la discrimination antiasiatique était plus forte dans des zones où une plus forte proportion de résidents avaient voté pour Donald Trump, en 2016.
L’oeuvre phare de Francis Ford Coppola a droit à une restauration sonore et une nouvelle version en 4K. Hugo Prévost et Kevin Laforest en discutent au 61e épisode du podcast Rembobinage.
L’inflation continue de faire des ravages au pays de l’Oncle Sam : selon une note…
L’Automat fut un pan de l’Amérique qui est disparu, mais qui n’est pas oublié. Et cela, The Automat le transmet sans faille aux cinéphiles et aux nostalgiques.
À l’échelle mondiale, quelque 2000 milliards de dollars se sont évaporés en raison des impacts sur le secteur touristique.
Au moment où le déconfinement se poursuit, et que davantage d’employés retournent au travail, après avoir passé plusieurs mois en télétravail, ou en attente de leur ré-embauche, les entreprises canadiennes ont toujours un grand besoin d’équipements de protection individuelle (EPI), ce qui entraîne une importante pression sur les fournisseurs, indique une nouvelle note d’information de Statistique Canada.
L’ambiance est feutrée et le décor se décline en tons de rouge vermeil et de noir: à la succursale montréalaise de l’Atelier de Joël Robuchon, où l’on recommande d’ailleurs une « tenue d’affaires décontractée », cette velléité de discrétion laisse toute la place à la délicatesse et la très grande qualité des plats.
