La reprise économique suivant les premières vagues de la pandémie a largement dopé le secteur canadien de la production pétrolière et gazière.
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Les perspectives évoquées dans le rapport ne sont pas spécialement encourageantes.
La croissance mondiale prévue cache un problème plus profond d’inégalités qui était déjà présent avant la pandémie.
Selon la FCEI, plus de 90% des PME en hébergement et en restauration n’ont toujours pas retrouvé leur niveau d’activité d’avant la pandémie.
Malgré une amélioration des sentiments par rapport à l’économie,
La reprise de la « vie d’avant », oui, mais pas au détriment d’une certaine quiétude, semble-t-il. Selon un récent sondage publié par le Conseil québécois du commerce de détail (CQCD), les deux tiers des Québécois ayant répondu sont favorables à ce que les rues commerciales des villes d’ici soient piétonnes, plutôt que d’être largement offertes aux véhicules.
La pandémie a déjà fortement touché les pays en développement, dont les systèmes de santé sont généralement moins efficace, mais dont les gouvernements ne sont généralement pas non plus en mesure d’offrir de l’aide financière équivalente à ce qui se fait au sein de la plupart des économies industrialisées. Comble de malchance, indique un nouveau rapport publié par The Economist, ces mêmes pays reçoivent aussi moins de transferts d’argent de la part de leurs ressortissants travaillant à l’étranger, pourtant un pilier de leur économie.
De moteur de croissance à création maintenue en vie au prix de très importants efforts: la pandémie de COVID-19 aura réussi, en quelques mois à peine, à complètement chambouler la perception des économies nationales de 14 pays répartis un peu partout dans le monde, révèle une récente enquête du Pew Research Center. Ainsi, seuls 31% des adultes sondés estiment que la situation économique est bonne, actuellement, contre 68% qui pensent le contraire.
La pandémie de COVID-19 provoque déjà un rebrassage des cartes géopolitiques, et accentuera la rivalité entre les grandes puissances, en plus d’accélérer le « transfert » de l’influence occidentale vers l’Orient. Voilà le constat des experts mandatés par le magazine The Economist, dans une analyse publiée cette semaine.
De quoi parlent 197 millions de tweets publiés à propos du coronavirus pendant la deuxième quinzaine de mars? En bonne partie d’hôpitaux, de soins de santé, de médecins… et d’une certaine courbe qu’il faut aplatir. Quant au ton, il n’est pas aussi pessimiste qu’on pourrait le croire.