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Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922. 

Les ambitions démesurées d’Alfonso Cuarón se font constamment sentir à mesure qu’elles grandissent, alors que sa filmographie, elle, s’épaissit. Cinq ans après l’époustouflant Gravity, il revient avec une proposition aux abords intimistes, mais qui ne fait que cacher quelque chose d’aussi immense qu’inoubliable, comme lui seul en a le secret.

Dans le cadre de ses démarches pour rajeunir et diversifier le public assistant à ses concerts, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait mardi soir une projection du film E.T., l’extraterrestre. Pour l’occasion, la cheffe Dina Gilbert était aux commandes des musiciens pour donner vie à la fantastique trame sonore concoctée par le non moins excellent John Williams.

Comment décrire Liminality, cette œuvre multidisciplinaire présentée dans la Satosphère, le dôme de la Société des Arts technologiques, dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA)? Captivant, unique en son genre, Liminality offre une expérience multisensorielle et quasi spirituelle.

Nous sommes les autres (2017) du cinéaste Jean-François Asselin coscénarisé par Jacques Drolet a été projeté dans le cadre des Rendez-Vous du cinéma québécois 2018. Lors d’une discussion animée après le film, le duo a expliqué qu’ils ont été incapables de le classer dans une catégorie de genre.

C’est ce mardi qu’a été dévoilée la programmation de la 23e édition du festival Cinemania, proposant 54 films issus de la francophonie. Cette 23e édition riche en histoires de toutes sortes sera présentée du 2 au 12 novembre 2017 au Cinéma Impérial, à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma du Parc.

Les cinéphiles montréalais, et plus particulièrement les résidents de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, ont jusqu’à dimanche l’occasion de découvrir ou redécouvrir les productions québécoises du septième art dans le cadre de l’événement Porc-épic – Le cinéma qui démange.

Le Centre d’histoire de Montréal présente l’exposition Fil de tendresse, fio de ternura du 1er février au 7 mai portant sur la relation entre les grands-parents et leurs petits-enfants dans la communauté portugaise. Alors que la Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce a projeté le 31 janvier le film japonais Tel père, tel fils (2013) réalisé par Kore-eda Hirokazu racontant la réaction de deux familles dont l’enfant a été échangé à la naissance.

Rencontre avec Zayné Akyol, la réalisatrice du documentaire Gulîstan, terre de roses, diffusé au Québec et produit par l’Office national du film au Canada. Premier long métrage de l’artiste, il présente la facette féminine du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan. Il dresse un portrait de ces femmes, parties s’engager pour une lutte idéologique et armée.

La Société des arts technologiques ( SAT ) a présenté Patterns: les murs ont des oreilles (2016) réalisé par Pierre Friquet, diplômé du Film and Television Institute of India (FTII), le 13 septembre dans la Satosphère. Le film immersif suscite un autre type de réceptivité de la part des spectateurs.