Le chef Lussier, armé de son basson, a dirigé tout ce beau monde avec un bel enthousiasme, tout en donnant à cet après-midi de musique des Noëls, un véritable air de fête de famille.
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L’ensemble est très émouvant, joliment chorégraphié et interprété de manière très professionnelle, avec des costumes extrêmement soignés et de très beaux tableaux colorés.
Au final, on est sortis énergisés et complètement repus d’une création aussi remarquable et satisfaisante. À ne pas manquer.
Avec ses éclairages spéciaux et ses envolées de bulles de savon, tout le spectacle de Mamselle Ruiz est parfaitement réglé pour proposer au public un beau mélange de musique et d’arts circassiens.
Fruit d’une rencontre entre différents savoirs, Libya est une co-création embrassant plusieurs facettes d’un patrimoine festif, coloré, lucide, dans lequel le passé, le présent et le futur sont entrelacés.
Entre théâtre et danse, mais sans conteste du côté de la danse contemporaine, Palermo Palermo se déploie comme une longue série de petits portraits, éphémères ou récurrents.
Le concert sera déprimant: qu’on se le tienne pour dit! Et pour cause, c’est l’auteur-compositeur-interprète Pierre Lapointe lui-même qui le dit. Pour l’une des dernières représentations de la tournée accompagnant la sortie de son plus récent album, La science du coeur, l’artiste s’est payé un concert doux-amer au Théâtre Outremont.
Eduardo Ruiz Vergara est un artiste généreux. Dans El Silencio de las cosas presentes, « le silence des choses présentes », il aspire à ce que les deux musiciens, les danseurs (lui et deux danseuses) et surtout le public parviennent à donner toute leur présence dans le moment qu’il leur fait vivre.
Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922.
C’est le 11 octobre dernier, à la salle Maisonneuve de la Place des Arts, que les Grands Ballets ouvraient leur saison. Sous la férule de leur nouveau directeur artistique, Ivan Cavallari, ils ont choisi de présenter deux œuvres assez conséquentes. En premier lieu, Stabat Mater, de Edward Clug, sur la célébrissime musique de Giovanni Battista Pergolesi. Suivi, en deuxième moitié de programme, de la 7e Symphonie de Ludwig van Beethoven, sur une chorégraphie du regretté Uwe Scholz.