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Si les indépendantistes catalans rendent les autres gouvernements témoin de l’état d’exception subi en Catalogne selon La Vanguardia du 23 septembre, les autorités d’Écosse et du Pays de Galles réclament plus d’assurances post-Brexit au Royaume-Uni, d’après Reuters le 20 septembre. 

À la suite du scandale, le parti Bright Future a quitté et rompu la coalition au pouvoir en Islande. Le président Guðni Thorlacius Jóhannesson a fixé une date pour de nouvelles élections. Si l’Independence Party a perdu 6% des intentions de vote, les Pirates mettent de l’avant le projet de nouvelle constitution, d’après Reykjavik Grapevine.

À quelques jours des élections allemandes, et alors que la chancelière Angela Merkel a de très fortes chances d’être reportée au pouvoir pour un quatrième mandat consécutif à la tête du gouvernement, les éditions Edito publient Angela Merkel – Un destin, sous la plume de la journaliste Marion Van Renterghem.

Bien que la loi Macron portait son nom, et que le magnat de l’immobilier figurait dans le vedettariat, les présidents Emmanuel Macron et Donald Trump étaient considérés comme de « nouveaux candidats » lors de leur campagne électorale respective. Si certains médias ont favorisé M. Macron d’après le Monde diplomatique de mai, l’équipe Trump a instrumentalisé le média social Facebook, lit-on dans le New York Review of Books du 8 juin.

Donald Trump a évoqué le limogeage du directeur du FBI lors de sa rencontre avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, pour expliquer pourquoi il n’avait pu jusqu’alors trouver de terrains de coopération avec Moscou, ont déclaré dimanche deux des principaux responsables de l’administration américaine.

À l’instar du dirigeant Kim Jong-un qui fait des sorties une fois de temps en temps avec son désir rétro de faire exploser le monde, le président Donald Trump brandit l’ALENA menaçant de détruire les économies de ses voisins. Qu’un dictateur s’ennuie dans son régime est compréhensible, mais comment expliquer qu’une superpuissance soit gouvernée par un individualisme grossier?

Si la cinéaste Leni Riefenstahl était encore de ce monde, elle aurait tourné un mélodrame de série B en Technicolor du M. Trump à la Maison-Blanche. Le 45e président a beau dire n’importe quoi, les politiciens de pays comme la Suède saisissent la nuance entre vérité et « alternative facts ».

L’époque: la campagne présidentielle américaine de 2016. Le lieu: le deuxième débat entre les deux candidats, le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton. L’ambiance est exécrable, les deux adversaires en sont pratiquement à s’insulter directement. Et voilà que se lève l’un des membres du public avec une question portant sur la protection de l’environnement et des emplois dans le secteur minier. Cet homme, c’est Ken Bone.

L’intensité de la poignée de main américano-nippone du 10 février a indiqué au premier ministre canadien de bien se muscler les mains pour son rendez-vous de lundi avec le président américain, décrit comme un solitaire par le quotidien argentin La Nacion et comme un fasciste par des parlementaires islandais, d’après le webzine Reykjavik Grapevine.

À un pas de l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis, qui peut prétendre que les règles du jeu dans les relations publiques politiques n’ont pas changé?