La pièce Duo en morceaux, présentée au théâtre aux Écuries, est conçue autour de treize moments clés de l’histoire d’amour de Philippe et Clémentine. Mais chaque représentation n’en propose que sept parmi les seize, six tirés au hasard par les spectateurs et un offert comme un boni, à leur discrétion.
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Le bureau de l’APA est à suivre dans ses propositions. Je parierais bien qu’on s’y amuse beaucoup au moment de la conception de ses spectacles, car ce plaisir est parfaitement ressenti lorsqu’on y assiste.
« On se rend compte qu’il y a une ouverture, mais aussi une prise de conscience par rapport au fait que le théâtre que nous créons est aussi intéressant et aussi bon que le théâtre non autochtone… »
Okinum est possiblement une oeuvre qui en dit plus, par ce qu’elle sous-entend, ou qu’elle ne montre pas, que par ce qu’elle présente à la face du monde.
Simple mais particulièrement efficace, Lolita n’existe pas réussit largement à atteindre son objectif, soit celui d’explorer ce mythe qui est toujours bien présent dans la culture populaire, et qui est encore très largement exploité à tort et à travers.
« Ce que j’ai envie de faire, c’est proposer une histoire qui est rebondissante, qui a des allures de montagnes russes, qui est une sorte d’éloge à l’adolescence, mais qui suscite aussi des réflexions sur des thématiques à propos desquelles nous essayons d’habitude de ne pas avoir de discussions. »
« Pourquoi ne pas créer des résidences de création et accompagner des artistes dans un processus de création qui leur est propre? C’est comme une réflexion sociale, ou à propos de l’émancipation. »
« Je m’épuise jusqu’à arriver à un état d’abandon, où l’instinct prend la place sur le rationnel. Dans les oeuvres de Basquiat, il y a une charge émotionnelle, une frénésie que j’ai voulu recréer sur scène. »
Le spectateur n’entend pas plus le texte qu’il n’est stimulé par la mise en scène, le jeu des actrices, les costumes, la musique, la vidéo et j’en passe…
Ce que J’aime Hydro, oeuvre magistrale, met surtout de l’avant, ultimement, c’est l’urgence de prendre des décisions pour le bien collectif, dans une perspective d’avenir teintée par un climat qui change, mais aussi par des évolutions technologiques.