Dans l’immédiat, le succès du SLS et d’Orion laisse donc croire que, contrairement aux annonces officielles de la NASA, il se pourrait qu’Artemis 3 repose sur les engins de la NASA, plutôt que sur ceux de SpaceX, en dépit du contrat de 2,9 milliards de dollars signé avec cette dernière.
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Les premières tentatives en cours ne sont toutefois pas entièrement privées : SpaceCell était soutenue en partie par des fonds publics, tout comme deux projets américains dont le lancement est prévu pour 2023, avec la NASA comme co-investisseur.
Un petit appareillage électronique, connecté au réseau interne d’un appareil ou d’une infrastructure via un câble réseau, peut transmettre des messages malveillants aussi souvent que nécessaire pour provoquer un chaos.
Ultimement, Si jamais vous nous écoutez propose une expérience théâtrale qui sort très agréablement du moule, mais qui aurait peut-être gagné à repousser davantage le cadre, histoire de véritablement plonger dans l’espace profond.
Ultimement, c’est l’impact qu’aura cette collision sur l’orbite de cette « lune » autour de son astéroïde — 11 heures et 55 minutes pour l’instant — qui reste la raison d’être de la mission.
Il est acquis que, dans l’état actuel des choses, les coûts du SLS rendent impensable une poursuite du programme lunaire, au-delà d’Artemis 3, si du moins celui-ci ne doit dépendre que de cette fusée.
Selon le journaliste spécialisé en affaires spatiales Éric Berger, les États-Unis sont engagés dans « un programme lunaire lent qui, en majeure partie, échoue à atteindre les objectifs » fixés par la « politique spatiale nationale ».
L’annonce de la NASA, le 21 mars, comme quoi on aurait dépassé le seuil de la 5000e exoplanète (5005 plus précisément) reste sujette à débats.
La décision de laisser à la NASA la responsabilité de gérer le projet de lanceur spatial est-elle avant tout politique?
2021 fut la 45e année consécutive où la température moyenne est supérieure à la moyenne du reste du 20e siècle.