L’exposition Banksyland est ridicule parce qu’elle est ridicule, tout simplement. Et ses organisateurs s’en mettent malgré tout plein les poches, alors qu’ils devraient plutôt avoir honte. Il n’y a rien de plus à dire.
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Côté technique, il n’y rien à reprocher à Salle de nouvelles; en fait, la scénographie est excellente, avec une grande utilisation de caméras vidéo, justement. Mais du côté des dialogues, on se demande pourquoi on nous propose cette incompréhensible fusion de thèmes et d’époques incomplets et incompatibles.
Dans certaines œuvres, par l’introduction d’accords très vigoureux, on pouvait imaginer, l’espace d’un instant, des accents de rock, eh oui! Cela était du plus bel effet. Aussi, à d’autres moments, la kora de Cissoko nous faisait goûter une saveur provenant davantage du Moyen-Orient que de l’Afrique de l’Ouest.
Encore cette année, l’exposition nous ouvre les yeux sur différents enjeux planétaires. Impossible de demeurer de glace devant toutes ces histoires à la fois si lointaines et si rapprochées.
Malheureusement, la chose tient de l’occasion manquée. Oui, tout aborder était impensable, puisque le sujet est presque aussi vaste que la société humaine en général. Mais on aurait apprécié que l’on aille davantage au fond des choses, plutôt que de rester bêtement en surface.
Tous ont eu leur moment de gloire dans cette soirée, mais impossible de ne pas mentionner, comme je l’ai fait en 2021, l’immense talent de Didem Basar qui joue du kanun comme une déesse.
Avec ses éclairages spéciaux et ses envolées de bulles de savon, tout le spectacle de Mamselle Ruiz est parfaitement réglé pour proposer au public un beau mélange de musique et d’arts circassiens.
S’il nous plonge davantage dans une atmosphère, un état d’esprit, que dans une histoire bien construite, le spectacle musical fougueux et assumé Hair demeure une réussite qui rappellera, sans conteste, de nostalgiques souvenirs à la génération fleurie des baby-boomers.
Plus que jamais près des citoyens, la Biosphère poursuit sa mission de rapprocher l’humain et la nature, en intégrant la culture et l’innovation sociale à ses enjeux, en digne représentante du complexe muséal d’Espace pour la vie.
Samedi le 10 juin, la diaspora sénégalaise de Montréal a fait entendre sa voix par une manifestation ayant mobilisé des centaines de personnes. Lamine Niang, membre du Secrétariat national à la communication de PASTEF Canada et gestionnaire de Jotna Média décrypte l’enjeu brimant la démocratie du « pays de la Teranga ».