Les chercheurs précisent que cette solution mise de l’avant a l’avantage de s’appuyer sur une technologie déjà existante. Après tout, des clients peuvent téléverser une photo d’eux en ligne pour essayer des styles de lunettes de soleil, ou encore essayer virtuellement des vêtements, entre autres exemples.
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« Nous vivons à crédit, en consommant des produits à bas prix, depuis tant de décennies. Ce n’est pas le fait d’être pour ou contre le développement, ou l’économie de marché, mais plutôt l’idée que nous devons en revenir à une économie de marché où nous consommons moins, avec des produits de meilleure qualité. »
L’industrie du prêt-à-porter représente 85 % de revenus d’exportation du Bangladesh, et plus de 12 millions d’habitants du pays dépendent de ce secteur de l’économie.
Clairement, nous ne sommes pas ici dans une idée d’utilisation quotidienne, ou casanière, mais plutôt dans la perspective où poser ces lunettes sur son nez représente quasiment une affirmation artistique.
Chaque année, l’industrie de la mode produit plus de 92 millions de tonnes de déchets textiles, rappelle Mme Perry. Seulement aux États-Unis, les articles de mode renvoyés aux détaillants entraînent plus d’émissions de CO2 que l’équivalent de trois millions de voitures.
La façon la plus efficace de passer d’une « mode jetable » à une mode plus « durable » serait, selon un récent rapport de la Fondation Ellen MacArthur… d’utiliser plus longtemps ses vêtements.
Ridley Scott s’avère incapable d’offrir un long-métrage capable de tenir la route et présenter une saga riche en rebondissements sous la forme de quelque chose d’intéressant.
Une équipe de scientifiques cherchent à déclencher une révolution dans le milieu de la technologie « prête-à-porter » en créant des fibres flexibles et en y ajoutant des acides tirés du vin rouge.
La surabondance du prêt-à-porter – des vêtements aisément disponibles et peu chers à produire – a créer une crise sur les plans de l’environnement et de la justice sociale, affirme une nouvelle étude réalisée par un expert en santé environnementale de l’Université de Washington à Saint-Louis.
Le mouvement végan commence à influencer l’industrie du vêtement. Mais à trop vouloir bien faire, il risque de créer un autre problème: remplacer la fourrure ou le cuir par des alternatives à base de plastique.