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Rapide comme l’éclair, le président Donald Trump enchaîne les signatures de décret à la vitesse où il envoie des « tweets ». Mercredi dernier, il a autorisé de par son trait gras la construction d’un mur le long de la frontière sud au détriment de l’environnement et de la diplomatie.

Alors que la résistance à Trump s’organise dans plusieurs secteurs de la société civile, un groupe de scientifiques a décidé de répondre par une « Marche pour la science » qui serait tenue simultanément dans autant de villes qu’il sera possible d’en organiser, avec une marche centrale dans la capitale.

Donald Trump est devenu président à midi le 20 janvier. Et à la même minute, toutes les mentions des changements climatiques sont disparues du site de la Maison-Blanche, déclenchant une colère sur les réseaux sociaux. Cette colère vise-t-elle la bonne cible? Pas vraiment. Cinq clés pour comprendre.

Si l’équipe de Donald Trump espérait lui faire gagner des votes en répondant au questionnaire sur la science, elle n’y a pas mis beaucoup d’efforts. Les réponses soumises par le candidat républicain se distinguent d’abord de celles d’Hillary Clinton par… leur brièveté.

Donald Trump a jugé mercredi que le président russe Vladimir Poutine faisait un meilleur chef d’État que Barack Obama, tentant de s’imposer dans un forum télévisé face à Hillary Clinton comme le mieux à même de réaffirmer la puissance américaine.

Selon la majorité des psychiatres américains, le candidat républicain à la présidence était mentalement inapte à occuper le poste. C’était en 1964 et le candidat s’appelait Barry Goldwater.

Donald Trump promet des réductions d’impôts pour les ménages et les entreprises, un gel des réglementations fédérales et la relance du projet controversé d’oléoduc Keystone XL s’il est élu président des États-Unis le 8 novembre.

Et si les élections américaines de 2016 devenaient celles où le réchauffement climatique se transformait en un enjeu… même pour les républicains? Surtout pour l’un d’eux, Donald Trump, dont les propriétés vont tôt ou tard avoir les deux pieds dans l’eau.

Le directeur du FBI, James B. Comey a recommandé de ne pas intenter de poursuite criminelle envers Hillary Clinton pour avoir utilisé sa messagerie personnelle au moment où elle occupait la fonction de secrétaire d’État. Alors que le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a affirmé qu’il rendrait publics les courriels de l’ex-secrétaire d’État, d’après le Guardian du 16 juin.