Hugo Prévost et Kevin Laforest s’aventurent donc du côté du Star Wars Holiday Special et de la panique satanique. Tout un programme!
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Depuis deux semaines, déjà, et jusqu’à la fin août, ce ne sont pas moins de 86 films qui seront projetés, pour le plus grand bonheur des amateurs de frissons en tous genres.
Layers of Fear est un véritable classique du genre, et cette nouvelle mouture apporte juste assez de nouveauté pour que même ceux et celles ayant joué aux deux titres originaux de la franchise aient de bonnes raisons d’y plonger à nouveau. Baissez les lumières, montez le son, et préparez-vous à vivre une expérience digne des meilleurs films d’horreur.
C’est ce qui manque à cette saison : un fil conducteur qui nous permet de renouer avec la série qu’on a tant aimée au cours de la dernière décennie.
Après Hereditary et Midsommar, Ari Aster nous revient avec Beau Is Afraid, un film fleuve de trois heures (!) rassemblant le drame, l’horreur, le trip psychédélique et la comédie.
Si le film contient quelques bons moments, Dark Nature est donc grevé par son scénario trop conventionnel et son budget qui n’est pas à la hauteur de ses ambitions. La réalisatrice a certainement tenté de tirer le meilleur des ressources disponibles, mais le résultat final laisse le cinéphile sur sa faim.
Comme oeuvre de genre présentée dans le cadre d’un festival, Bungalow aurait eu ses chances. Mais comme film grand public, le long-métrage hésite trop à choisir son camp, et finis donc par se perdre dans les méandres de… quelque chose?
Un Cronenberg, c’est bien, mais est-ce que deux Cronenberg, c’est mieux? Préparez-vous à des vacances très, très spéciales impliquant des substances hallucinogènes, des touristes qui se croient tout permis et un personnage principal qui plonge peu à peu dans la folie. À moins que tout cela ne soit une illusion…
Même si on peut comprendre pourquoi le chef Slowik déciderait de tuer une douzaine de personnes pour se venger d’une carrière entière de tourments, le film se termine et l’on se dit que The Menu est bien, mais pas renversant.
Malgré quelques bons moments, Resident Evil est un monument au rythme inégal, au kitsch et aux coûts sans doute excessifs pour des images de synthèse de très piètre qualité. Seule la bande sonore échappe au couperet.