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Abigail demeure donc compétent. Divertissant, aussi. Sauf qu’il ne faut pas trop en demander, il faut baisser les attentes (si celles-ci existent) et il faut considérer qu’au moment où chaque revirement a lieu, on risque rapidement de les oublier. Un no-brainer comme on dit, finalement, ce qui, quand on veut se changer les idées, n’est quand même pas trop de refus.

Ultimement, True Detective: Night Country est une saison divertissante, et il est franchement agréable de revoir Jodie Foster, même si son personnage est, à l’instar de bien des gens dans cette ville éloignée, renfermé et prompt à s’emporter. La fin semble un peu précipitée, mais pour se changer les idées, ces six épisodes sont tout indiqués.

The Portrait ne coche peut-être pas toutes les cases, mais pour un premier film, le mandat est largement réussi. À découvrir, donc, pour un peu de fraîcheur dans un genre cinématographique légèrement usé.

Superbe hommage à Edgar Allan Poe porté par une distribution sans faille, The Fall of the House of Usher est non seulement une oeuvre idéale pour se faire peur, mais aussi – et surtout – la preuve qu’il est encore tout à fait possible de disposer d’une liberté d’agir pour produire du contenu aussi original que passionnant.

On se désole de cet autre proposition générique et sans trop de surprises de Blumhouse, soignée, mais vite oubliée. D’autant plus qu’il y avait moyen de s’amuser bien plus avec le ridicule souvent évident de bien des revirements (après tout, et vous ferez vos recherches, le concept n’est-il pas né d’une forme d’autodérision?).

Bref, l’expérience d’Empty Shell devient rapidement lassante. Beaucoup trop rapidement, même. Sans oublier frustrante. De quoi se demander s’il n’y a pas autre chose qu’il est possible de faire ou d’acheter avec les 15 $ exigés pour ce jeu.