Browsing: harcèlement

Le gag ne date pas d’hier: qui n’a jamais décrit les jeux vidéo, et plus spécifiquement les jeux en ligne, comme un univers où des adolescents de 13 ans se targuent d’avoir couché avec notre mère? Ce qui fait moins rire, toutefois, c’est l’importance de ce phénomène de harcèlement: selon une récente étude, 74% des joueurs adultes ont été victimes de harcèlement lors de jeux en ligne.

Important problème de santé publique, le suicide régresse néanmoins au Canada depuis les années 2000, particulièrement chez les hommes de 18 à 64 ans. Les experts constatent toutefois une légère augmentation chez les adolescents et les jeunes adultes.

Les juifs américains sont de plus en plus victimes de discrimination dans un pays de l’Oncle Sam où les discours haineux se multiplient, révèle un nouveau rapport du Pew Research Center.

Le harcèlement, les menaces et l’intimidation dont a été victime le Pharmachien ont créé de l’émoi chez les vulgarisateurs francophones. Mais ce n’était qu’une question de temps avant qu’un cas de ce genre ne surgisse: parce que les vulgarisateurs anglophones, eux, vivent depuis des années déjà avec de telles épées de Damoclès au-dessus de leurs têtes.

Lorsqu’on est confronté à des arguments touchant une corde sensible, il est souvent difficile, pour la plupart d’entre nous, de séparer les opinions des faits. Le réflexe qu’ont plusieurs de mettre l’étiquette « fausse nouvelle » sur une opinion avec laquelle ils ne sont pas d’accord, en est une illustration. Or, un récent débat sur l’injection de vitamine C fournit au Détecteur de rumeurs une opportunité pour illustrer ce dilemme.

Si les adolescents sont facilement influençables, qu’en est-il de l’influence d’un personnage hyper-médiatisé comme Trump? Deux chercheurs viennent de publier des résultats inquiétants sur le harcèlement et les insultes à l’école, avant et après la dernière élection américaine.

Qu’est-ce qui explique que le mot-clic #MeToo ait eu, cette fois, un impact? Sans doute la force du nombre, qui a submergé la tendance à blâmer en premier les victimes d’agressions à caractère sexuel. Or, cet élan de solidarité est d’autant plus étonnant que le fait de blâmer les victimes aurait des racines profondément ancrées dans notre psychologie — et peut-être même dans la biologie de l’évolution.

En début d’année, deux enquêtes internes de l’université de l’État de Washington ont conclu à la culpabilité d’un professeur accusé de harcèlement sexuel. En réaction, le professeur a décidé de poursuivre l’université… pour atteinte à ses droits de professeur permanent.