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    Accueil»Technologie»Les Canadiens veulent une meilleure lutte contre la cyberintimidation
    Selon le coup de sonde, être exposé au harcèlement en ligne aurait comme impact de désensibiliser les internautes

    Les Canadiens veulent une meilleure lutte contre la cyberintimidation

    0
    Par Pieuvre.ca le 21 octobre 2016 Technologie

    Pieuvre.ca

    Un nouveau sondage fait état de profondes divisions en fonction de l’âge et du sexe lorsqu’il est question de ce que les Canadiens qualifient de comportement offensant en ligne.

    Selon ce qu’écrit la BBC, les utilisateurs réguliers des médias sociaux ont tendance à être moins offensés par les commentaires publiés sur le web. Cela est également le cas des utilisateurs moins âgés et des jeunes hommes.

    Les compagnies technologiques sont sous pression croissante pour s’attaquer à la cyberintimidation. En mai, le président de Twitter, Jack Dorsey, avait ainsi indiqué au diffuseur public britannique que s’attaquer aux comportements abusifs et offensants sur la plateforme était une priorité.

    De son côté, l’institut de sondage Angus Reid s’est intéressé à l’attitude des Canadiens face aux comportements répréhensibles sur les médias sociaux. Le coup de sonde a permis de constater qu’un Canadien sur quatre a signalé avoir été confronté à des comportements allant de la mesquinerie à l’extrême – des commentaires agaçants aux menaces violentes et au harcèlement sexuel.

    Chez les utilisateurs plus importants (et plus jeunes) des médias sociaux, 50% ont rapporté avoir subi du harcèlement. Près de 60% des utilisateurs membres de la communauté LGBT ont indiqué avoir été aux prises avec des comportements similaires.

    Plusieurs personnes interrogées ont d’ailleurs demandé aux entreprises d’en faire davantage pour s’attaquer aux comportements abusifs et à l’intimidation, y compris 49% qui disent vouloir que les plateformes retirent, de façon proactive, les contenus offensants. « Les Canadiens semblent avoir des attentes en ce qui concerne les compagnies de médias sociaux, des attentes qui, estiment-ils, ne sont pas satisfaites », mentionne Shachi Kuri, directrice exécutive chez Angus Reid.

    Mme Kuri note toutefois qu’il existe une « diversité d’opinions » sur l’ampleur de l’engagement que ces compagnies devraient prendre pour contrôler le contenu – et ce qui est considéré comme acceptable.

    L’institut a montré aux répondants cinq exemples d’interactions en ligne, allant d’un tweet colérique envoyé à un journaliste à un message raciste destiné à Leslie Jones, vedette du plus récent film Ghostbusters. Les personnes interrogées ayant été personnellement harcelées en ligne avait des critères plus sévères que les autres lorsque venaient le temps de qualifier du contenu comme étant inacceptable. « Les gens qui disent « oui, ça m’est arrivé » sont plus susceptibles de dire également « c’est acceptable » », a dit Mme Kurl.

    « On aurait tendance à croire que l’exposition à ce genre de contenu peu atténuer la capacité d’être choqué ou offensé. »

    Malgré le fait que les hommes se disent ciblés aussi fréquemment que les femmes par ce genre de contenu, les jeunes hommes canadiens étaient davantage portés à adopter une approche de laisser-faire face au harcèlement en ligne. « Il y a des différences frappantes, cela ne fait aucun doute », mentionne Mme Kurl.

    « Vous voyez carrément une grande différence en matière d’âge. Et vous constatez ensuite que les jeunes hommes sont plus tolérants que les jeunes femmes. L’âge et le sexe sont deux facteurs très importants. »

    Autocensure

    Elizabeth Dubois, professeure adjointe à l’Université d’Ottawa qui effectue des recherches sur le harcèlement en ligne, estime que les comportements abusifs et le harcèlement ont toujours fait partie de la culture numérique.

    Mais cet aspect a pris de l’importance au fur et à mesure que les réseaux sociaux ont gagné en popularité. « Vous parvenez au point où la plus importante croissance des médias sociaux – Facebook, Twitter, même Instagram – a eu lieu chez les personnes plus âgées, les baby boomers », dit-elle. « Ce sont eux qui ont sonné l’alarme. »

    Le harcèlement en ligne s’est également généralisé sur le web, ajoute-t-elle. Cela fait en sorte que les gens qu’elle étudie – les journalistes et les personnalités publiques – font davantage attention à ce qu’ils publient en ligne. « Ils réfléchissent à ce qu’ils écrivent, ils reformulent, et font un usage modéré des mots-clics – quand ils ne décident tout simplement pas de s’en passer », mentionne Mme Kurl.

    Celle-ci affirme que l’intimidation a également un impact important sur l’utilisateur moyen. « En gros, trois utilisateurs de médias sociaux sur cinq disent s’autocensurer parfois, ou même encore souvent. »

    « Si les gens craignent d’indiquer ce qu’ils pensent vraiment par crainte des trolls ou du harcèlement, cela soulève des questions quant à savoir si ces plateformes reflètent réellement l’opinion publique ou les tendances sociales. »

    L’Institut Angus Reid a mené son coup de sonde en ligne du 29 août au 2 septembre auprès d’un échantillon aléatoire de 1530 adultes canadiens membre du Forum Angus Reid.

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