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Ce n’est plus un secret que le gouvernement chinois a beaucoup investi dans les technologies de reconnaissance faciale —technologies qui, dans une société qui investit également beaucoup dans la surveillance vidéo, peuvent permettre de suivre à la trace une personne. Voilà que l’ADN pourrait théoriquement permettre d’aller encore plus loin. 

Un quart des variations génétiques découvertes récemment chez des résidents de 25 villages de l’Ouganda n’avaient jamais été observées auparavant. Ce n’est ni une bonne ni une mauvaise nouvelle pour eux, mais c’est un rappel du fait qu’une trop grande proportion des recherches en génétique depuis 20 ans ont porté uniquement sur des populations nord-américaines ou européennes.

Un nouvel outil utilise une base de données interactive comprenant des informations géographiques et génétiques pour aider les autorités à identifier rapidement les endroits où les défenses d’éléphants africains victimes de braconnages ont été obtenues à l’origine.

L’Homo sapiens serait apparu au Botswana, une région du sud de l’Afrique, selon une recherche publiée cette semaine. L’annonce a cependant été rapidement contestée par des scientifiques. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé pourquoi.

Selon l’évêque croate Juraj Jezerinac, la chair d’embryons avortés serait utilisée pour la fabrication de parfums de luxe. Il y a en fait longtemps qu’une telle affirmation circule… mais c’était auparavant à propos des vaccins et de certains aliments. Le Détecteur de rumeurs et l’Organisation pour la science et la société expliquent la part de vrai et (surtout) de faux dans cette histoire.

Des anguilles. Beaucoup d’anguilles. De l’ADN d’au moins 3000 espèces, y compris des espèces qui n’y vivent même pas, comme des humains, des chiens et des cerfs. Mais les chercheurs néo-zélandais qui cataloguent les espèces vivant dans ou autour du Loch Ness, à partir d’échantillons d’ADN récoltés dans l’eau, n’ont pas trouvé de gènes d’un monstre préhistorique.

Si, à intervalles irréguliers, des squelettes vieux de quelques siècles émergent d’un lac qui dégèle, vous présumez qu’un événement macabre s’est produit, que l’Histoire a oublié de retenir. La vérité s’avère plus complexe.

Une étude publiée dans le journal de neurologie Brain rapporte qu’une thérapie génique, qui restaurerait l’équilibre du cholestérol dans le cerveau, permettrait de prévenir des dysfonctions neuronales causées par la maladie d’Huntington.